Soutien à BLOOM : défendre les océans et ceux qui les protègent
« Ce qui se passe aujourd’hui contre BLOOM est d’une gravité extrême. Il en va de notre droit à agir pour le bien commun, sans subir l’intimidation. »
— Artia13, mobilisation citoyenne
BLOOM : 20 ans de combats exemplaires pour l’océan
BLOOM est une association de conservation marine fondée en 2004 par l’écologiste Claire Nouvian. Depuis sa création, BLOOM s’est donnée pour mission de protéger les écosystèmes marins et la biodiversité océanique, en luttant contre les pratiques de pêche destructrices et les politiques qui menacent la vie marine. En deux décennies d’action, cette ONG a remporté des victoires majeures qui font aujourd’hui référence dans le domaine de la protection de l’océan :
- Interdiction du chalutage profond (2016) – Après sept ans de campagne acharnée, BLOOM a arraché de haute lutte l’interdiction du chalutage en eaux profondes au-delà de 800 m de profondeur dans toute l’Union européenne. Ce succès a permis de préserver les écosystèmes millénaires des grands fonds, gravement menacés par cette pratique industrielle extrêmement destructrice.
- Fin de la pêche électrique (2019) – À l’issue d’un combat d’une violence inouïe contre les mastodontes de la pêche industrielle néerlandaise, BLOOM a réussi l’impensable en faisant bannir la pêche électrique en Europe. Cette technique de pêche, dénoncée pour ses ravages sur les ressources halieutiques, sera totalement interdite dès 2021, épargnant des millions de poissons et protégeant plus d’une centaine d’espèces marines grâce à l’alliance de BLOOM avec les pêcheurs artisans.
- Mobilisations internationales récentes – BLOOM continue de porter des campagnes déterminantes. En 2022, lors du One Ocean Summit de Brest, Claire Nouvian a dénoncé l’imposture des aires marines protégées « à la française » (non protégées en réalité), lançant un débat public salutaire sur la protection réelle de l’océan. La même année, à la 2-ème Conférence de l’ONU sur l’Océan à Lisbonne, une intervention devenue virale de BLOOM a fait basculer la position de la France en faveur d’un moratoire international sur l’exploitation minière des grands fonds marins. En 2023, l’association a contribué à sauver in extremis la Loi européenne de restauration de la nature, qui oblige les États à restaurer 20 % des écosystèmes terrestres et marins d’ici 2030. Plus récemment, BLOOM a révélé la contamination au mercure des boîtes de thon, provoquant une chute de 10 à 20 % des ventes de thon en boîte et exposant un scandale sanitaire.
- Coalition « Année de la Mer » (2025) – Anticipant la 3-ème Conférence des Nations unies sur l’océan (UNOC 3) organisée par la France, BLOOM a co-fondé une vaste Coalition citoyenne pour la protection de l’océan. Cette alliance regroupe aujourd’hui 173 ONG et mouvements, 120 personnalités publiques et près de 56 000 citoyen·ne·s mobilisés autour de l’Année de la Mer 2025. L’objectif : obtenir des engagements ambitieux pour la préservation des écosystèmes marins lors de ce rendez-vous international crucial.
« Grâce au combat de BLOOM, nos petits métiers ont retrouvé de l’espoir. Mais aujourd’hui, nous sommes à nouveau menacés : il faut que tout le monde comprenne que défendre la mer, c’est défendre notre futur et notre dignité. »
— Jean-Yves L., pêcheur à la ligne, Bretagne
Grâce à son expertise scientifique, son plaidoyer tenace et son pragmatisme (BLOOM élabore par exemple des fiches techniques à destination des députés européens), l’association s’est imposée comme un acteur incontournable de la défense de l’océan. 100 % efficace et indépendante, BLOOM incarne une ONG exemplaire dont les victoires successives prouvent qu’il est possible de renverser la table face aux intérêts industriels lorsque la société civile se mobilise.
Une situation d’urgence écologique et démocratique
Aujourd’hui, la situation est grave à un double titre. D’une part, l’océan traverse une crise écologique sans précédent ; d’autre part, BLOOM fait l’objet de pressions intolérables de la part de certains lobbies politico-industriels qui cherchent à la réduire au silence.
- Menace sur les écosystèmes marins : Les indicateurs scientifiques sont alarmants. Sous l’effet combiné de la surpêche, du changement climatique et de la pollution, la biodiversité marine s’effondre. Des espèces clés apparues il y a 450 millions d’années, bien avant les premiers arbres – comme les requins ou le plancton – sont désormais menacées d’extinction. Depuis 1950, les populations de grands poissons prédateurs ont chuté de plus de 90 %, signe d’un dérèglement profond des chaînes alimentaires océaniques. Avec cette disparition de la vie marine, c’est le puits de carbone océanique, la sécurité alimentaire de centaines de millions de personnes, et l’équilibre climatique mondial qui sont en jeu. En France, moins de 0,1 % seulement des eaux métropolitaines sont aujourd’hui véritablement protégées, malgré les discours officiels – une situation qui appelle des mesures d’urgence.
« Les données ne mentent pas : l’effondrement des populations de poissons, la disparition du plancton, c’est la vie même de l’océan qui vacille. Les travaux de BLOOM sont rigoureux et cruciaux pour alerter le public et les décideurs. »
— Dr. Marion Dupuis, biologiste marine, CNRS
- Pressions extrêmes sur BLOOM : Parce que BLOOM s’attaque frontalement à la première cause de destruction historique de l’océan – la pêche industrielle – l’association subit en retour les foudres des intérêts qu’elle menace. Ces dernières semaines, la guerre des lobbies de la pêche industrielle contre BLOOM a changé d’échelle. Elle se déroule à haute intensité et de façon coordonnée : en mer, où des navires poursuivent les équipes de BLOOM pour les intimider ; dans les arènes politiques, où des élus hostiles – notamment du Rassemblement National – attaquent publiquement l’ONG ; sur les réseaux sociaux, où prolifèrent diffamations et désinformations via des comptes anonymes et des campagnes d’astroturfing. Même physiquement, BLOOM est prise pour cible : des perturbateurs organisés tentent d’infiltrer ou de saboter les événements publics de l’association par des méthodes dignes des milices trumpistes ou poutiniennes.
« Parce qu’ils savent de quoi nous sommes capables quand nous faisons alliance avec vous, quand la volonté citoyenne se déploie en vague et qu’elle renverse la table. Donc ils nous attaquent. Mais nous n’allons pas baisser la tête. Pas question de les laisser gagner. »
— BLOOM, soutien public, 2025
- Menaces, intimidation et violence : Un cap terrifiant a été franchi dans la nuit du 3 au 4 juin derniers. Un ou plusieurs individus se sont introduits dans l’immeuble où réside Claire Nouvian, la fondatrice de BLOOM, et ont vandalisé la porte de son appartement en taguant des insultes ordurières et des calomnies. Ce harcèlement criminel vise clairement à intimider l’ONG en s’attaquant personnellement à sa figure emblématique. Une plainte a été déposée et une enquête de police est en cours, mais cet acte d’une gravité extrême illustre l’escalade des moyens de pression utilisés pour faire taire BLOOM. L’association et ses membres font aussi l’objet de menaces de poursuites judiciaires abusives (procès-bâillons), destinées à les épuiser par des batailles juridiques coûteuses.
« Recevoir des insultes, des menaces, se voir poursuivre en justice, tout cela ne m’arrêtera pas. Nous défendrons l’océan, envers et contre tout. »
— Claire Nouvian, fondatrice de BLOOM (intervention publique, 2024)
- Déferlement politico-industriel : Les attaques viennent de tous côtés. Du côté industriel, les filières de la pêche industrielle montent au créneau. Par exemple, Scapêche – la flotte de pêche d’Intermarché, longtemps fer de lance du chalutage profond – a tout fait pour défendre ses intérêts. Mise sous pression par la mobilisation citoyenne, elle a dû annoncer son retrait progressif de la pêche en eaux profondes d’ici 2025, non sans avoir combattu ardemment les demandes d’interdiction portées par BLOOM. De même, les industriels néerlandais de la pêche électrique ont mené un lobbying féroce contre BLOOM jusqu’à la dernière minute, qualifiant l’association de tous les maux lorsqu’elle a réussi à faire interdire leurs pratiques. Du côté politique, certains responsables se font les porte-voix de ces lobbies. Récemment encore, en marge de l’UNOC 3, la ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher s’est jointe à la meute en diffamant publiquement BLOOM pour tenter de discréditer ses révélations. De même, lors d’un vote européen en 2022, l’État français a trahi les petits pêcheurs et BLOOM en défaisant, dans des négociations opaques, une victoire obtenue au Parlement contre la senne démersale (une technique de pêche destructrice pratiquée par certains industriels). Ces pressions politiques au plus haut niveau témoignent des complicités dont bénéficient les grands intérêts privés au sein des institutions, au détriment de la protection de l’environnement.
« Recevoir des menaces ou être suivi jusque chez soi ne fait qu’augmenter notre détermination. Nous défendons l’intérêt général, rien ne nous fera plier. »
— Équipe BLOOM, 2025
En somme, BLOOM subit aujourd’hui un véritable tir de barrage parce qu’elle ose revendiquer une transformation en profondeur du modèle de pêche et une protection effective de l’océan. Les lobbies industriels le savent : BLOOM et ses alliés citoyens peuvent faire basculer des décisions historiques, comme celles attendues pendant l’Année de la Mer 2025. L’association réclame en effet deux mesures phares que ces lobbies jugent inacceptables : l’interdiction du chalutage dans les aires marines protégées et l’exclusion des navires industriels de plus de 25 m des eaux côtières. Si ces propositions étaient adoptées, ce serait un tournant majeur pour la préservation de l’océan… et un revers cuisant pour les acteurs du chalutage industriel subventionné qui ravagent les écosystèmes. C’est pourquoi ils s’acharnent à faire taire BLOOM par tous les moyens. La démocratie environnementale – le droit pour les citoyens de défendre librement la nature sans intimidation ni violence – est en péril dans cette affaire. Il en va également du respect de l’État de droit, car s’attaquer ainsi à des lanceurs d’alerte écologiques, c’est s’attaquer aux valeurs fondamentales de notre République.
Des alertes lancées aux plus hauts niveaux de l’État
Face à la gravité de la situation, l’association Artia13 – solidaire du combat de BLOOM – a pris l’initiative d’alerter directement plusieurs personnalités de haut niveau, afin de mobiliser des appuis puissants et coordonnés. Ces contacts ont été sollicités en priorité pour qu’une riposte appropriée soit organisée sans délai. Parmi eux :
Mamadou Fadiga – Ministère de la Justice

Mamadou Fadiga est Directeur de service au Ministère de la Justice. Fort de son expérience au cœur de l’appareil judiciaire, il incarne un engagement profond envers l’État de droit et l’équité. Responsable d’un service clé au sein du ministère, il veille à ce que la justice demeure accessible et impartiale pour tous. Son intégrité professionnelle et sa connaissance des rouages institutionnels font de lui une figure respectée, dont la voix porte naturellement. Mamadou Fadiga a le potentiel d’influencer les politiques publiques en faveur d’une justice plus transparente et plus humaine – un pilier essentiel de la résilience citoyenne que prône Bloom. Par son exemple et son soutien, il peut encourager d’autres serviteurs de l’État à ne jamais céder dans la défense des valeurs républicaines et de la justice sociale.
Mounia Mostefaoui (PhD) – Planification écologique au Premier ministre

Mounia Mostefaoui est Docteure et Directrice de programme au Secrétariat Général à la Planification Écologique, rattaché aux services du Premier ministre. Son parcours académique de haut niveau (PhD) et son rôle au cœur de la planification écologique gouvernementale témoignent de sa compétence en matière de développement durable. Chargée de coordonner des programmes stratégiques pour la transition écologique, elle œuvre à intégrer les enjeux climatiques et environnementaux dans l’action de l’État. Mounia Mostefaoui est reconnue pour son sérieux scientifique, son sens de l’intérêt général et son dévouement à préparer un avenir soutenable. Son intégrité et sa vision à long terme en font une actrice d’influence : à son niveau, elle peut impulser des changements de politiques publiques ambitieux pour l’écologie, et ainsi soutenir concrètement le message de Bloom qui appelle à une mobilisation collective pour ne pas laisser l’adversité (climatique ou sociale) nous vaincre. En restant fidèle à ses convictions écologiques, elle inspire d’autres responsables à joindre leurs forces pour le bien commun.
Mariana Caillaud – Cabinet du Premier Ministre

Mariana Caillaud est Conseillère Industrie, Innovation & Transition Écologique au Cabinet du Premier Ministre. Jeune lauréate du Choiseul 100, elle fait partie des 100 leaders économiques de demain identifiés en France pour leur talent et leur potentiel. Son parcours est riche : Mariana Caillaud a été fondatrice et dirigeante de la start-up Dolipharm, une entreprise innovante dans le domaine de la santé, avant de mettre son expertise au service de l’action publique. Désormais au cœur de l’élaboration des politiques industrielles et écologiques auprès du Premier ministre, elle fait le lien entre le monde de l’entreprise, l’innovation technologique et les exigences de la transition écologique. Son professionnalisme et son énergie lui confèrent une crédibilité tant auprès des décideurs que des entrepreneurs. Avec son sens de l’innovation responsable, Mariana Caillaud incarne une nouvelle génération de décideurs intègres et engagés. Elle a le pouvoir d’influencer des mesures concrètes pour une industrie plus durable et juste. En soutenant Bloom, elle pourrait amplifier l’élan collectif et prouver que même au sommet de l’État, on refuse de baisser la tête face aux défis climatiques et sociaux.
Sonia Bakhti-Alout – Cabinet du Premier Ministre

Sonia Bakhti-Alout est une conseillère au Cabinet du Premier Ministre, occupant un poste de haut niveau dans la sphère gouvernementale. Forte d’une expérience significative dans les arcanes de l’État, elle apporte chaque jour son expertise et sa rigueur au service de l’action publique. Sonia Bakhti-Alout est reconnue par ses pairs pour son professionnalisme, sa discrétion et son sens aigu de l’intérêt général. Travaillant au plus près des décisions du Premier ministre, elle mesure l’impact des politiques sur le quotidien des citoyens. Son intégrité sans faille lui a valu la confiance des plus hautes autorités, et sa capacité d’initiative contribue à faire avancer des dossiers stratégiques. En tant que personnalité influente de l’appareil d’État, elle est idéalement placée pour porter les messages de résilience et de solidarité prônés par Bloom au niveau institutionnel. Son soutien – même implicite – à cette alliance citoyenne témoignerait que, dans les cercles du pouvoir, on partage aussi ce refus de céder face aux injustices et aux adversités. Sonia Bakhti-Alout, par son engagement au sein de l’État, a le potentiel d’entraîner d’autres décideurs dans une dynamique positive en faveur de la justice sociale et de la transition écologique.
Wally N. – Enquêteur DCPJ (Ministère de l’Intérieur)

Wally N. est Enquêteur à la Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ), au sein de la filière technique et scientifique (FTSI) du Ministère de l’Intérieur et des Outre-mer. En première ligne dans la lutte contre la criminalité complexe, il mobilise son expertise technique pour servir la justice. Chaque jour, Wally N. met sa rigueur d’enquêteur et ses compétences scientifiques au service de la vérité, que ce soit dans la traque de la cybercriminalité, du crime organisé ou d’autres infractions menaçant la société. Son rôle est crucial : grâce à des preuves tangibles et des analyses pointues, il permet de faire triompher la loi et de protéger les citoyens. Connu pour son professionnalisme et son sens du devoir, il représente cette nouvelle génération de policiers alliant technologie et éthique. Wally N. fait preuve d’une intégrité exemplaire dans des enquêtes souvent sensibles, reflétant ainsi la devise de la Police judiciaire : « Pour la loi, pour la justice ». En tant qu’enquêteur, son influence peut sembler discrète, mais elle est réelle : ses conclusions orientent la justice et peuvent faire tomber les puissants qui enfreignent les lois. Son engagement résonne avec le message de Bloom : ne jamais renoncer à faire éclater la vérité et la justice, même face à des obstacles intimidants. En soutenant l’initiative Bloom, ne serait-ce que par l’adhésion aux principes qu’elle défend, Wally N. montre que les forces de l’ordre et la société civile peuvent faire alliance pour renverser la table de l’injustice.
Marie Guermeur – Journaliste à RTL, Doctorante & Enseignante

Marie Guermeur porte plusieurs casquettes avec brio : journaliste à RTL, doctorante en sciences de l’information (CELSA – Université Roma Tre) et enseignante vacataire. Elle incarne l’alliance du journalisme de terrain, de la recherche académique et de la transmission du savoir. Sur les ondes de RTL, Marie Guermeur informe quotidiennement des centaines de milliers d’auditeurs, couvrant des sujets de société avec une rigueur et une sensibilité particulières. Parallèlement, sa poursuite d’un doctorat témoigne d’une volonté d’analyse approfondie des médias et de la communication, ajoutant une dimension de réflexion critique à sa pratique journalistique. En tant qu’enseignante, elle partage son expérience et sa passion avec les étudiants, formant la prochaine génération à l’esprit critique et à l’éthique de l’information. Son intégrité intellectuelle et sa polyvalence professionnelle forcent l’admiration. Marie Guermeur sait à quel point une information de qualité peut renforcer la résilience citoyenne en éclairant le public et en dénonçant les injustices. Grâce à sa triple expertise, elle possède une influence certaine : celle de l’information juste, de l’analyse et de la pédagogie. Son soutien à Bloom – en relayant par exemple les messages de résilience sur les ondes ou en mobilisant la jeunesse étudiante autour de ces idéaux – serait un atout précieux. Par son engagement, elle montre qu’il est possible de refuser la fatalité en alliant savoir, vérité et action citoyenne.
Pauline Lefrançois – Journaliste TF1, Pigiste & Réalisatrice

Pauline Lefrançois est journaliste au sein du groupe TF1, tout en menant des activités de rédactrice pigiste et de réalisatrice de documentaires. Basée dans le sud de la France, elle est correspondante pour TF1/LCI, donnant à ses reportages une perspective ancrée dans la réalité du terrain. Pauline Lefrançois s’est distinguée par sa capacité à traiter des sujets humains avec profondeur et empathie – comme en témoigne un documentaire récent qu’elle a réalisé sur l’humanité des soignants, salué pour sa délicatesse et son sens de la nuance. En tant que pigiste et réalisatrice, elle choisit également de mettre en lumière des histoires qui comptent, souvent ignorées des grands médias, preuve de son engagement en faveur d’une information diverse et authentique. Son professionnalisme, sa créativité et son indépendance d’esprit lui confèrent une crédibilité importante dans le paysage médiatique. Pauline Lefrançois sait utiliser le pouvoir de l’image et du récit pour toucher les consciences – un atout majeur pour encourager la solidarité citoyenne. En rejoignant le mouvement de soutien à Bloom, elle pourrait apporter son savoir-faire pour diffuser le message de résilience au grand public, par des reportages inspirants ou des témoignages de citoyens qui « renversent la table ». Sa voix, portée par un grand média national, a le potentiel d’éveiller les consciences et de rappeler que face aux difficultés, l’union et la détermination collective font la différence.
Lisa Défossez – Journaliste à l’AFP

Lisa Défossez est journaliste à l’Agence France-Presse (AFP), l’une des principales agences de presse mondiales. Formée à l’Institut de Journalisme de Bordeaux (IJBA) et passée par des rédactions variées (de la presse régionale à des quotidiens nationaux), elle apporte un regard engagé et fouillé sur l’actualité. Lisa Défossez s’est notamment illustrée en couvrant des sujets de société et de droits humains, comme la lutte contre les violences faites aux femmes ou les mouvements citoyens, témoignant d’une sensibilité particulière pour les combats en faveur de la dignité et de l’égalité. En tant que journaliste AFP, ses dépêches alimentent de nombreux médias en France et à l’étranger, ce qui décuple la portée de son travail. Son écriture est précise, factuelle, mais aussi empreinte d’humanité lorsqu’elle relate le vécu de celles et ceux qu’elle interviewe. Lisa Défossez représente la fiabilité et la réactivité de l’information de source sûre – un élément essentiel pour contrer la désinformation et fortifier la résilience citoyenne. En soutenant Bloom, elle contribuerait à diffuser largement le message que nous n’allons pas les laisser gagner. Que ce soit par un reportage sur l’initiative citoyenne en cours ou par un simple relais d’informations positives, son influence médiatique peut aider à créer cette « vague » de volonté citoyenne capable de changer les choses.
Sabrina Gotlib – Journaliste & Experte en Media-Training

Sabrina Gotlib est journaliste et ancienne présentatrice TV, aujourd’hui reconnue comme spécialiste du media training et du personal branding. Formée sur les bancs de Sciences Po, elle a navigué dans le monde des médias avec aisance avant de fonder sa propre structure de formation (Xplore Formation) pour accompagner sportifs, dirigeants et porteurs de projets dans leur prise de parole publique. Cette double expérience de journaliste et de coach en communication donne à Sabrina Gotlib une perspective unique : elle sait à la fois décrypter l’information et aider autrui à la transmettre efficacement. Son professionnalisme et son empathie lui ont permis de gagner la confiance de nombreuses personnalités qu’elle prépare aux interventions médiatiques, avec un maître-mot : authenticité et clarté du message. Sabrina Gotlib est convaincue que derrière chaque message fort se trouvent des individus qui osent le porter haut et clair. C’est pourquoi son rôle est crucial pour amplifier des causes justes : en formant des citoyens engagés ou des experts à mieux communiquer, elle donne plus d’écho aux combats sociétaux. Son intégrité intellectuelle se reflète dans la qualité des conseils qu’elle prodigue, toujours guidés par l’éthique et la vérité. Si Sabrina Gotlib apporte son soutien à Bloom, ce serait par exemple en aidant les porte-voix du mouvement à affiner leur discours, à toucher le grand public au cœur. Son influence se mesure en cascades : chaque personne qu’elle forme peut à son tour convaincre et mobiliser d’autres, créant ainsi un puissant effet d’entraînement dans la lutte pour la justice, la solidarité et l’environnement.
Didier Lauras – Grand Reporter à l’AFP

Didier Lauras est reporter à l’AFP, spécialiste des questions de sécurité, défense et diplomatie. Fort d’une longue carrière journalistique, il a couvert des zones de conflit, suivi des négociations internationales délicates et enquêté sur des dossiers complexes touchant à la sûreté de l’État. Didier Lauras est renommé pour son professionnalisme, son sang-froid et sa précision factuelle, même sous la pression des événements mondiaux. En tant que grand reporter, il a voyagé sur de nombreux terrains et acquis une vision globale des enjeux géopolitiques, tout en conservant un attachement aux valeurs démocratiques et aux droits de l’homme. Son intégrité et son refus des compromis faciles en ont fait une référence dans le journalisme de défense et de sécurité. Didier Lauras sait mieux que quiconque que la sécurité d’un pays se fonde aussi sur la confiance entre institutions et citoyens. En mettant en lumière, dans ses articles, les défis mais aussi les réussites en matière de sécurité ou de coopération internationale, il contribue à une meilleure compréhension par le public – condition nécessaire d’une résilience collective informée. Son potentiel d’influence est considérable : à travers ses dépêches et analyses, il éclaire les choix des décideurs et de l’opinion publique. S’il apporte son soutien aux valeurs portées par Bloom, ce serait en soulignant que la vigilance citoyenne et l’union nationale dans l’épreuve sont nos meilleures armes contre ceux qui chercheraient à nous affaiblir. Didier Lauras, par sa plume respectée, a la capacité d’amplifier le message qu’aucune adversité ne doit nous faire renoncer à nos principes de liberté, de justice et de solidarité.
Arnaud Barbat – Commandant de Police (Ministère de l’Intérieur)

Arnaud Barbat est Commandant de Police au Ministère de l’Intérieur, un officier supérieur engagé dans la protection des citoyens et le maintien de l’ordre républicain. Sa carrière dans les forces de l’ordre est marquée par un sens du devoir exemplaire et une éthique irréprochable. Arnaud Barbat a gravi les échelons par son travail acharné sur le terrain comme dans les postes de commandement, gagnant le respect de ses collègues et de sa hiérarchie. En tant que commandant, il joue un rôle pivot : il coordonne des équipes, gère des situations de crise et assure la sécurité publique en veillant au respect des lois et des droits. Son intégrité et sa loyauté envers les valeurs de la République font de lui un modèle pour les jeunes recrues. Arnaud Barbat sait que la confiance du public envers la police se construit par la transparence, la justice et la proximité avec la population. C’est pourquoi il promeut au quotidien une police citoyenne, à l’écoute, ferme contre la criminalité mais juste dans ses actions. Son potentiel d’influence s’exerce aussi bien au sein de l’institution – en inspirant ses équipes – qu’auprès du grand public, en représentant une force de l’ordre humaine et respectueuse. En soutenant l’initiative Bloom, Arnaud Barbat montrerait que les garants de notre sécurité intérieure partagent cette idée qu’il ne faut pas baisser la tête face aux menaces, quelles qu’elles soient. Son appel à la cohésion entre forces de l’ordre et citoyens, autour des valeurs communes de justice et de solidarité, peut renforcer la vague citoyenne positive que Bloom cherche à déclencher.
Ahmed Ben – Officier de Police Judiciaire

Ahmed Ben est Officier de Police Judiciaire (OPJ), Brigadier-Chef au sein d’une Brigade de Traitement Judiciaire en Temps Réel. Confronté quotidiennement à la réalité du terrain policier, il traite en temps réel des affaires judiciaires qui concernent la vie quotidienne des citoyens – flagrants délits, contentieux urgents, petites et grandes infractions. Ahmed Ben est reconnu pour sa réactivité, son discernement et son profond respect de la procédure légale. En tant qu’OPJ, il a le pouvoir de conduire des enquêtes, de collecter les preuves et de présenter les affaires devant la justice avec rigueur. Sa position de Brigadier-Chef lui confère également des responsabilités d’encadrement : il guide les plus jeunes agents, leur transmettant son expérience et ses valeurs d’exemplarité. Ahmed Ben représente cette police de proximité qui, loin des projecteurs, garantit que la justice soit rendue au plus près du citoyen et sans délai inutile. Son intégrité – refusant tout passe-droit, traitant chaque dossier avec le même sérieux – est la clé de voûte de la confiance que les gens peuvent avoir en l’institution policière. Dans le contexte du mouvement Bloom, Ahmed Ben incarne la résistance tranquille mais déterminée de ceux qui, à l’échelle locale, refusent de se laisser dépasser par l’adversité. Par son engagement à appliquer la loi équitablement jour après jour, il rejoint l’esprit de Bloom : faire front, avec calme et détermination, pour que les principes de justice et de solidarité prévalent toujours. Son influence, bien que modestement exercée dans une brigade, est essentielle : c’est par mille actions justes au quotidien que l’on construit une société plus résiliente et plus unie.
Régis Passerieux – Haut fonctionnaire au Ministère de l’Intérieur

Régis Passerieux est un haut fonctionnaire au Ministère de l’Intérieur, doté d’une longue et brillante carrière au service de l’État. Ancien élève de l’ENA et fin connaisseur des politiques publiques, il a occupé de nombreux postes de responsabilité, notamment en collectivités locales et dans des cabinets ministériels. Il a également été maire et acteur politique dans les années 1990, ce qui lui confère une expérience à la fois administrative et politique rare. Plus récemment, Régis Passerieux s’est distingué dans le pilotage de projets liés à la transition industrielle et écologique : il a ainsi exercé, jusqu’en mars 2025, les fonctions de Commissaire à la transition industrielle, écologique et énergétique de la zone de Fos-Berre. Ce rôle l’a vu œuvrer à concilier développement économique local et impératifs environnementaux, en concertation avec élus et industriels. Essayiste à ses heures, il prône depuis longtemps une vision humaniste de la politique, basée sur le lien social et la prise en compte des plus fragiles. Son intégrité et sa profondeur de réflexion lui ont valu le respect de tous bords. Régis Passerieux, en tant que haut fonctionnaire, a un potentiel d’influence majeur : il conseille les plus hautes autorités, conçoit des stratégies nationales, et peut impulser des changements structurels en matière de sécurité, de justice sociale ou d’écologie. En affichant son soutien aux idéaux de Bloom, il enverrait un signal fort – celui d’une convergence entre la société civile et les sphères de l’État pour refuser la fatalité et bâtir ensemble des solutions. Son expérience démontre qu’aucune transformation durable ne se fait sans alliances : alliances entre administrations et citoyens, entre économie et écologie, entre générations. C’est précisément l’esprit de Bloom. Avec des personnes telles que Régis Passerieux à bord, porteuses d’une vision et d’un réseau d’influence, la vague citoyenne ne pourra que gagner en ampleur et en crédibilité.
« Quand une ONG comme BLOOM est attaquée, c’est toute la société qui doit se lever. Leur combat doit devenir le nôtre, car personne ne protègera la mer à notre place. »
— Chantal M., enseignante, Marseille
- Élise Lucet – Journaliste d’investigation (France Télévisions) : informée des faits, elle pourrait mettre au jour les pressions subies par BLOOM via un reportage d’enquête retentissant, exposant au grand jour les manœuvres des lobbies et les défaillances de l’État. Son émission emblématique met régulièrement en lumière des scandales d’intérêt public ; une investigation dédiée serait à même de provoquer une prise de conscience nationale.
- Laurent Nuñez – Préfet de Police de Paris : en tant que chef des services de police de la capitale, il a été saisi de l’affaire d’intimidation visant Claire Nouvian. Son rôle est déterminant pour renforcer la protection policière autour des membres de BLOOM et pour s’assurer qu’une enquête approfondie, impartiale et rapide identifie les auteurs de ces actes inqualifiables. Une implication personnelle du préfet de Police enverrait un signal fort que de telles exactions contre des défenseurs de l’environnement sont intolérables et seront punies.
- Colonel Ludovic Ehrhart – Chef de l’OCLAESP (Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique) : ce haut responsable de la Gendarmerie est spécialisé dans les crimes environnementaux. Alerté de la campagne de harcèlement contre BLOOM, il peut engager les ressources de son office pour investiguer tout lien entre les délinquants ayant vandalisé le domicile de Claire Nouvian et d’éventuels commanditaires liés aux milieux de la pêche industrielle. Son action permettrait de judiciariser ces attaques sous l’angle, par exemple, de la mise en danger d’autrui ou de la menace envers une ONG d’intérêt général.
- Hugo Clément – Journaliste et reporter engagé pour le climat et les océans (France 2) : figure médiatique populaire auprès du grand public et co-animateur de la récente émission « Urgence Océan » sur France 2, il a été mis au courant des intimidations visant BLOOM. Son soutien public et la couverture médiatique qu’il peut offrir – via ses reportages télévisés et ses réseaux sociaux suivis par des centaines de milliers de personnes – sont de nature à sensibiliser l’opinion et à créer un élan de solidarité. En relayant l’appel de BLOOM, il peut contribuer à briser l’omerta et faire pression, par l’indignation populaire, sur les décideurs pour qu’ils agissent.
Chaque personne ainsi contactée occupe une position stratégique, avec un potentiel d’action complémentaire – médiatique, institutionnel ou répressif. En les sollicitant sans délai, Artia13 entend appuyer une mobilisation à la hauteur des enjeux, car il est clair qu’aucun acteur isolé ne saurait endiguer seul une offensive d’une telle ampleur contre BLOOM et, plus largement, contre la protection de l’océan. Ces premiers relais haut-placés constituent autant de leviers pour faire bouger les lignes : en exposant publiquement les exactions commises, en activant les mécanismes de l’État de droit, et en préparant des mesures de soutien concrètes, ils peuvent aider à inverser le rapport de force imposé par les lobbies.
Il est important de souligner que ces démarches d’alerte ne sont qu’une première étape. L’objectif est d’entraîner dans leur sillage d’autres acteurs – responsables politiques intègres, fonctionnaires soucieux de l’intérêt général, juges, intellectuels, personnalités morales – afin de créer un front uni pour défendre la légitimité de BLOOM et, plus généralement, le droit des citoyens à se mobiliser pour l’environnement sans subir menaces ni violences.
Appel à l’action : mobilisons-nous pour l’océan et la démocratie environnementale
Il est temps désormais de passer à l’action au-delà des cercles informés. Artia13, aux côtés de BLOOM, appelle l’ensemble des citoyennes et citoyens, des acteurs publics et des forces vives de la société à se lever pour défendre la démocratie environnementale et celles et ceux qui, sur le terrain, protègent nos océans.
Voici les actions urgentes que nous préconisons :
- Témoigner et signaler : Toute personne disposant d’informations sur les attaques contre BLOOM ou témoin d’agissements suspects (campagnes de diffamation organisées, intimidations physiques…) est invitée à se manifester. Vos témoignages – même anonymes – peuvent s’avérer décisifs pour documenter les exactions et appuyer les plaintes en cours. N’hésitez pas à contacter Artia13 ou BLOOM pour partager ce que vous savez. La vérité doit éclater au grand jour, preuves à l’appui.
- Prendre la parole publiquement : Nous en appelons aux responsables politiques intègres, aux intellectuel·le·s, aux scientifiques, aux artistes engagés et à toute personnalité influente choquée par cette dérive : exprimez haut et fort votre soutien à BLOOM et votre indignation face à ces tentatives de bâillonnement. Tribune dans les médias, messages sur les réseaux sociaux, interpellation des ministres concernés – chaque prise de parole compte pour sortir cette affaire du silence et placer les agresseurs sous le regard de l’opinion publique. Ne laissons pas les défenseurs de l’océan se faire isoler et intimider dans l’ombre.
« Attaquer BLOOM, c’est s’attaquer à la liberté d’agir pour l’intérêt général. Je me tiendrai toujours aux côtés de ceux qui défendent la nature et la vérité. »
— Élise Lucet, journaliste d’investigation
- Relayer l’alerte dans les médias : Journalistes et médias, votre rôle est crucial. Nous vous exhortons à enquêter et à couvrir largement ce qui se passe. Il ne s’agit pas d’un fait divers isolé, mais d’une affaire symptomatique d’un enjeu de société : peut-on encore, en 2025, défendre l’environnement en France sans subir de représailles ? En donnant un écho médiatique à l’appel de BLOOM, vous contribuerez à la protection de ceux qui protègent la nature. Des rédactions ont déjà commencé à investiguer ; nous espérons que d’autres suivront pour exposer les noms, les méthodes et les intérêts cachés derrière les attaques contre BLOOM.
- Soutien institutionnel et politique : Nous demandons aux institutions de la République – du gouvernement au Parlement en passant par les autorités judiciaires – de prendre clairement fait et cause pour la protection des lanceurs d’alerte environnementaux. Concrètement, cela signifie : garantir des moyens accrus aux forces de l’ordre chargées de l’enquête, condamner fermement (y compris par voie de communiqué officiel) toute intimidation d’une ONG environnementale, activer le Défenseur des droits et les mécanismes de l’État pour accompagner BLOOM dans ses démarches, et envisager la création d’un statut ou d’un dispositif de protection spécifique pour les défenseurs de l’environnement menacés. Au sein même de l’État, des actes forts sont attendus. Par exemple, nous interpellons les ministres de l’Intérieur et de la Justice afin qu’ils suivent personnellement le dossier et veillent à ce que les auteurs – et éventuels commanditaires – de ces actes soient identifiés et poursuivis sans indulgence. De même, nous appelons le ministère de la Transition écologique à cesser toute complaisance avec les lobbies destructeurs et à soutenir publiquement BLOOM dans son combat légitime pour des océans vivants.
En toile de fond, ce qui se joue, c’est la défense de notre État de droit et de notre avenir commun. Si une organisation comme BLOOM – pacifique, reconnue d’utilité publique, lauréate du prix Goldman (le « Nobel » de l’écologie) – peut être prise pour cible de la sorte, alors c’est chaque citoyen engagé qui est visé à travers elle. Nous refusons d’assister impuissants à cette tentative de museler la société civile. Parce qu’ils savent de quoi nous sommes capables lorsque nous faisons alliance avec vous, citoyens, quand la volonté citoyenne se déploie en vague et qu’elle renverse la table, ils nous attaquent. Mais nous n’allons pas baisser la tête. Pas question de les laisser gagner.
Plus que jamais, la solidarité est notre meilleure arme. Montrons-leur que la mobilisation en faveur de l’océan et de la justice ne fera que grandir face à l’intimidation. Artia13 s’engage à soutenir BLOOM de toutes ses forces, et nous invitons chacun·e à en faire de même à son échelle. Ensemble, défendons la liberté d’expression, la citoyenneté active et la protection de notre patrimoine naturel commun. Ensemble, faisons triompher la justice sociale et écologique sur la peur et les intérêts égoïstes.
« Lorsque des intérêts privés attaquent les lanceurs d’alerte, ce sont nos valeurs républicaines qui sont en danger. Soutenons BLOOM, sans hésitation. »
— Contact Artia13, 2025
Le message de BLOOM est clair depuis toujours : “On ne lâche rien.” Aujourd’hui, c’est à nous tous de porter ce message. Pour l’océan, pour la démocratie, pour nos enfants, nous ne lâcherons rien. Soutenons BLOOM et celles et ceux qui défendent l’intérêt général contre la destruction et l’intimidation. L’océan nous concerne tous : organisons la riposte citoyenne à la hauteur des enjeux !
Publié sur Artia13 – Justice sociale, écologie et citoyenneté active.