Le café est aux mains des spéculateurs
Côté à New York pour l’arabica et à Londre pour le robusta, le café a vu son cours s’envoler depuis deux ans. La faute au réchauffement climatique? Oui mais le patron de Malongo accuse aussi les traders de spéculer sur la matière première.
Avec Jean-Pierre Blanc, directeur général de Malongo
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