30.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 22 Views 0 Comments

Angoulême : « girlcott » contesté, Le Point rappelle l’origine réelle de « boycott »

Mise à jour le 2025-11-29 21:00:00 : Le Point conteste l’usage de « girlcott » lié au Festival d’Angoulême. Le média rappelle que « boycott » vient d’un nom propre irlandais.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Le Point publie une analyse sur le terme « girlcott ». L’article replace le débat dans l’étymologie de « boycott ». Le texte cite Charles Cunningham Boycott et l’Irlande, en 1879. Aucune donnée opérationnelle sur l’ampleur de la mobilisation n’est fournie.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Le Point remet en cause « girlcott » et rappelle l’origine de « boycott ».
Qui est concerné : Associations et syndicats de la BD, organisateurs du Festival d’Angoulême.
Quand : Référence à un titre du 16 novembre ; publication le 29 novembre 2025, 21:00.
Où : France (Angoulême) ; Irlande (comté de Mayo) ; Californie évoquée pour 1891.

Chiffres clés

1879 : année d’isolement de Charles Boycott, en Irlande.
1891 : année du premier usage de « girlcott » évoqué par la presse.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Aucun changement d’obligation ; débat lexical et médiatique.
Démarches utiles : Aucune procédure mentionnée par l’article.
Risques si vous n’agissez pas : Aucun risque évoqué pour le public.
Exceptions : Non mentionnées.

Contexte

Selon Le Point, plusieurs organisations de la BD refusent de participer au festival. Elles dénoncent des « violences sexistes et sexuelles », une « gouvernance autarcique », le « mépris généralisé des travailleurs·euses », l’« exploitation mercantile » et le « validisme ». Le Point rappelle que « boycott » vient de Charles Boycott, et qu’en 1879 la presse britannique a nommé ainsi cette stratégie d’isolement.