27.10.2025 Cédric Balcon-Hermand 0 Views 0 Comments

Élection 2025 : Abidjan interdit la marche du 11 octobre

Introduction : À quelques jours de l’élection présidentielle du 25 octobre 2025, Abidjan est secouée par une décision controversée. Le préfet Andjou Koua a interdit toute marche prévue le 11 octobre, suscitant interrogations et tensions. Que cache cette mesure en pleine campagne électorale ?

Ce qu’il faut retenir

Le préfet d’Abidjan, Andjou Koua, a interdit une marche prévue le 11 octobre, à moins de deux semaines de l’élection présidentielle.
Cette décision vise à maintenir l’ordre public en période électorale, mais soulève des inquiétudes quant aux droits civiques.
Les réactions des citoyens et des partis politiques varient entre mécontentement et appel à la prudence.
Cette interdiction pourrait influencer la mobilisation politique et la légitimité du scrutin du 25 octobre.
Les jours à venir seront cruciaux pour la stabilité politique de la Côte d’Ivoire.

Faits vérifiés

La décision d’interdire la marche du 11 octobre a été confirmée par plusieurs médias, dont l’AFP et France 24. Le préfet s’appuie sur des lois régissant l’ordre public et la réglementation des rassemblements. Des experts soulignent que cette interdiction pourrait exacerber les tensions politiques dans la capitale ivoirienne.

Le détail qui fait réagir

À l’approche de l’élection, la décision d’interdire la marche a déjà généré plus de 138 000 vues sur les réseaux sociaux, témoignant de l’intérêt et de l’inquiétude des citoyens.

Réactions officielles et citations

« Nous devons garantir la sécurité de tous, surtout en période électorale. » — Andjou Koua, Préfet d’Abidjan, 11 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette décision du préfet d’Abidjan intervient dans un contexte électoral tendu, où la mobilisation des citoyens est cruciale. En interdisant la marche, le gouvernement semble vouloir éviter des débordements, mais cela soulève des questions sur la liberté d’expression et le droit de manifester. Les implications de cette mesure pourraient avoir des conséquences durables sur la perception de la démocratie en Côte d’Ivoire.