Un fossoyeur de Cannes soupçonné de trafic d’ossements humains
Le 6 août 2025, à Cannes, un fossoyeur est au cœur d’une enquête judiciaire pour des accusations de trafic d’ossements humains. Cette affaire soulève des questions sur l’intégrité des pratiques funéraires et le respect dû aux défunts.
Faits vérifiés
Selon les informations disponibles, un employé des pompes funèbres Roblot à Cannes est soupçonné d’avoir extrait des ossements, notamment des crânes, lors de réductions de corps effectuées dans le cadre de son travail. Ces restes humains auraient été conservés à son domicile et, dans certains cas, revendus à des tiers pour des sommes comprises entre 400 et 700 euros. Ces allégations ont été portées à la connaissance des autorités par une femme ayant entretenu une relation avec le suspect en 2021. Elle affirme que le fossoyeur aurait également proposé des crânes en échange de faveurs sexuelles. Plusieurs autres femmes ont signalé des comportements inappropriés de sa part, tels que le harcèlement et l’envoi de contenus sexuels non sollicités.
Développement
Face à ces accusations, le parquet de Grasse a ouvert une enquête pour faire la lumière sur ces pratiques présumées. L’entreprise OGF, propriétaire des pompes funèbres Roblot, a réagi en déclarant que « les faits qui lui sont reprochés sont choquants et très graves » et a lancé une enquête interne pour examiner les allégations mentionnées. L’entreprise a également assuré que, si les faits étaient avérés, elle prendrait « l’ensemble des mesures nécessaires à l’encontre du salarié concerné » et se tient « à la disposition de la justice ».
Réactions officielles
Les faits qui lui sont reprochés sont choquants et très graves.
Une enquête interne a d’ores et déjà été déclenchée afin d’examiner les allégations mentionnées.
Si les faits sont avérés, nous prendrons l’ensemble des mesures nécessaires à l’encontre du salarié concerné.
Nous nous tenons à la disposition de la justice.
Contexte géopolitique ou historique
Des affaires similaires ont été rapportées par le passé. En 2013, à Lyon, quatre fossoyeurs et un marbrier ont été mis en examen pour avoir volé des bijoux et des dents en or sur des cadavres, ainsi que pour avoir récupéré des stèles funéraires afin de les revendre. Ces actes concernaient principalement des concessions en état d’abandon. Les suspects avaient été accusés de « vol », « recel » et « atteinte à l’intégrité d’un cadavre ».
Désinformation et rumeurs
À ce jour, aucune rumeur ou information non vérifiée concernant cette affaire n’a été identifiée. Les informations présentées proviennent de sources fiables et ont été confirmées par les autorités compétentes.
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Date de publication : 2025-08-06 12:23:00
Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Cet article a été vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.
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