Un documentaire poignant sur les collages féminicides : « Nous sommes la voix de celles qui n’en ont plus »
Introduction : En 2019, à Marseille, Marguerite Stern a lancé un mouvement artistique et militant pour dénoncer les féminicides à travers des collages. Ce projet a pris de l’ampleur, culminant avec la publication d’un livre par Paola Guzzi et Cécile Rousset, qui retrace l’histoire de ce mouvement et ses implications sociales.
Faits vérifiés
Le livre « Nous sommes la voix de celles qui n’en ont plus » explore les événements entourant les collages féminicides, en mettant en lumière le parcours de Marianne, une femme ayant subi des violences conjugales. Les journalistes Guzzi et Rousset s’appuient sur des témoignages et des illustrations pour aborder ce sujet délicat. Le mouvement a été particulièrement actif à Paris, où des collectifs de femmes se sont mobilisés pour sensibiliser le public à la violence faite aux femmes.
Développement
Le livre commence par le procès de Marianne, qui a été interpellée lors d’une action de collage. Ce chapitre met en avant les injustices auxquelles les femmes font face et la nécessité d’une prise de conscience collective. Les autrices abordent également l’impact historique des Suffragettes et des Femen, établissant un lien entre passé et présent. Les illustrations, en noir et blanc, apportent une dimension visuelle forte, renforçant le message des collages. Cécile Rousset, en tant qu’illustratrice, réussit à capturer l’essence de ces actions militantes tout en respectant la gravité du sujet.
Réactions officielles
« Ce livre est une œuvre essentielle qui donne une voix à celles qui ont été réduites au silence », Paola Guzzi, Journaliste, 2025.
Contexte
Les féminicides sont un problème sociétal majeur en France et dans le monde. Selon des rapports récents, la violence à l’égard des femmes a augmenté, et les mouvements comme celui des collages féminicides cherchent à attirer l’attention sur cette crise. Le mouvement de Marguerite Stern s’inscrit dans une longue tradition de lutte pour les droits des femmes, utilisant l’art comme moyen de résistance.
Désinformation et rumeurs
- Affirmation selon laquelle les collages seraient illégaux : non prouvée. Les actions de collage sont souvent considérées comme une forme d’art et de protestation, mais leur légalité peut varier selon les contextes.
Sources
« L’article est apparu en premier ici »
Date de publication : 2025-08-27 21:28:00
Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Cet article a été vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.
Application officielle :
Téléchargez Artia13 Actualité sur Google Play
Retrouvez également tous nos contenus sur artia13.city
Notre IA contre la désinformation :
Analyzer Fake News – GPT spécialisé conçu par Artia13
