Titre reformulé factuel et engageant
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– Titre : Après Blatten, l’assurance bâtiment va coûter plus cher
– Contenu brut :
Le glissement de terrain de Blatten n’a pas seulement bouleversé un village valaisan et les habitants de la région. Il marque également un tournant pour tout le secteur suisse de l’assurance. Les propriétaires immobiliers doivent ainsi se préparer à une hausse sensible des primes d’assurance immobilière dans les prochaines années. C’est ce qu’annonce Fabian Rupprecht, directeur général du futur nouveau groupe Helvetia Bâloise, dans une interview à la «NZZ am Sonntag».
«Blatten a secoué notre branche», note-t-il. Désormais devenus plus attentifs, les assureurs refuseront toujours plus d’assurer les maisons situées dans les zones rouges, à haut risque. Et «à long terme, les primes devront augmenter, il n’y a pas d’autre solution», ajoute-t-il.
Dommages naturels: tarifs à réévaluer
Pour le groupe Helvetia, le coût de l’éboulement à Blatten se chiffre déjà à plusieurs dizaines de millions de francs, indique Fabian Rupprecht. Mais si les dégâts les plus spectaculaires surviennent en montagne, il rappelle que la grêle et les inondations frappent également les villes. Dans ce contexte, la FINMA devra bientôt réévaluer à la hausse les tarifs des assurances contre les dommages naturels, abaissés il y a quelques années, note-t-il.
Séismes: un risque majeur non assuré
Les tremblements de terre peuvent provoquer des dégâts encore plus importants que les éboulements, mais l’assurance contre les séismes n’est pas obligatoire en Suisse. Fabian Rupprecht constate toutefois une augmentation des souscriptions volontaires à une telle assurance, tout en critiquant le projet du Conseil fédéral d’une assurance conditionnelle en la matière. De son avis, «elle coûterait autant, mais au pire moment».
Selon le CEO du groupe, le temps de l’assurance bâtiment universelle et bon marché est révolu. Face à la multiplication des catastrophes naturelles, les propriétaires devront non seulement payer davantage, mais aussi accepter que, selon leur emplacement, certains biens deviennent tout simplement inassurables.
Helvetia mise massivement sur l’intelligence artificielle (IA) pour transformer son activité. «D’ici quelques années, la majorité des sinistres simples seront traités automatiquement», selon Fabian Rupprecht. L’IA permettra d’accélérer le versement des indemnités, de réduire les coûts administratifs et d’améliorer la détection des fraudes. Or, cette automatisation s’accompagne d’une suppression d’emplois massive: 500 postes devraient disparaître d’ici 2027. Cela dans le cadre d’un plan d’économies de 200 millions de francs suisses. Le CEO assure toutefois que les collaborateurs seront formés à de nouveaux métiers, liés à la gestion des données et à la cybersécurité.
Les cyberattaques sont des risques presque impossibles à assurer aujourd’hui, souligne Fabian Rupprecht. Car les données en la matière manquent et les dommages potentiels dépassent souvent la capacité financière des compagnies. En Suisse, seules les PME peuvent encore être couvertes pour de tels risques – à condition de bien évaluer leurs vulnérabilités. «Beaucoup d’entreprises pensent encore qu’elles ne seront pas ciblées. Elles se trompent», avertit le CEO, appelant à renforcer la prévention plutôt qu’à compter sur une couverture totale.
Dans le «SonntagsBlick» du jour, c’est Mario Greco, le patron de la Zurich Assurance, qui s’exprime sur la multiplication des catastrophes naturelles. Pour lui, le rôle d’un assureur est d’essayer d’en minimiser les effets et les dommages. Ce que l’assureur fait en conseillant ses clients sur la prévention et la manière d’atténuer les conséquences des catastrophes naturelles. Il estime par ailleurs qu’à l’avenir, les primes d’assurance bâtiment seront plus élevées dans des villages tels que Blatten qu’à Zurich par exemple.
Interrogé également sur la menace des cyberattaques, Mario Greco estime qu’elles constituent le «plus grand défi» que les assureurs devront «traiter avec une grande prudence».
– Date : 2025-10-05 17:37:00
**Ligne éditoriale (obligatoire)**
– Lisible grand public : phrases courtes (8–16 mots), vocabulaire simple, paragraphes de 2–3 lignes.
– Pyramide inversée : l’essentiel d’abord, les détails ensuite, le contexte en fin.
– Intérêt public prioritaire : santé, sécurité, données personnelles, pouvoir d’achat, mobilité, emploi.
– Transparence : séparer clairement ce qui est confirmé, ce qui reste à préciser.
– ZÉRO sensationnalisme gratuit ; ton ferme et factuel ; aucune opinion partisane.
**Anti-hallucination (obligatoire)**
– N’invente jamais d’URL, de noms, d’entités, de dates, de chiffres, ni de citations.
– **Sources** : n’insère comme lien que des URL **présentes textuellement** dans
Le glissement de terrain de Blatten n’a pas seulement bouleversé un village valaisan et les habitants de la région. Il marque également un tournant pour tout le secteur suisse de l’assurance. Les propriétaires immobiliers doivent ainsi se préparer à une hausse sensible des primes d’assurance immobilière dans les prochaines années. C’est ce qu’annonce Fabian Rupprecht, directeur général du futur nouveau groupe Helvetia Bâloise, dans une interview à la «NZZ am Sonntag».
«Blatten a secoué notre branche», note-t-il. Désormais devenus plus attentifs, les assureurs refuseront toujours plus d’assurer les maisons situées dans les zones rouges, à haut risque. Et «à long terme, les primes devront augmenter, il n’y a pas d’autre solution», ajoute-t-il.
Dommages naturels: tarifs à réévaluer
Pour le groupe Helvetia, le coût de l’éboulement à Blatten se chiffre déjà à plusieurs dizaines de millions de francs, indique Fabian Rupprecht. Mais si les dégâts les plus spectaculaires surviennent en montagne, il rappelle que la grêle et les inondations frappent également les villes. Dans ce contexte, la FINMA devra bientôt réévaluer à la hausse les tarifs des assurances contre les dommages naturels, abaissés il y a quelques années, note-t-il.
Séismes: un risque majeur non assuré
Les tremblements de terre peuvent provoquer des dégâts encore plus importants que les éboulements, mais l’assurance contre les séismes n’est pas obligatoire en Suisse. Fabian Rupprecht constate toutefois une augmentation des souscriptions volontaires à une telle assurance, tout en critiquant le projet du Conseil fédéral d’une assurance conditionnelle en la matière. De son avis, «elle coûterait autant, mais au pire moment».
Selon le CEO du groupe, le temps de l’assurance bâtiment universelle et bon marché est révolu. Face à la multiplication des catastrophes naturelles, les propriétaires devront non seulement payer davantage, mais aussi accepter que, selon leur emplacement, certains biens deviennent tout simplement inassurables.
Helvetia mise massivement sur l’intelligence artificielle (IA) pour transformer son activité. «D’ici quelques années, la majorité des sinistres simples seront traités automatiquement», selon Fabian Rupprecht. L’IA permettra d’accélérer le versement des indemnités, de réduire les coûts administratifs et d’améliorer la détection des fraudes. Or, cette automatisation s’accompagne d’une suppression d’emplois massive: 500 postes devraient disparaître d’ici 2027. Cela dans le cadre d’un plan d’économies de 200 millions de francs suisses. Le CEO assure toutefois que les collaborateurs seront formés à de nouveaux métiers, liés à la gestion des données et à la cybersécurité.
Les cyberattaques sont des risques presque impossibles à assurer aujourd’hui, souligne Fabian Rupprecht. Car les données en la matière manquent et les dommages potentiels dépassent souvent la capacité financière des compagnies. En Suisse, seules les PME peuvent encore être couvertes pour de tels risques – à condition de bien évaluer leurs vulnérabilités. «Beaucoup d’entreprises pensent encore qu’elles ne seront pas ciblées. Elles se trompent», avertit le CEO, appelant à renforcer la prévention plutôt qu’à compter sur une couverture totale.
Dans le «SonntagsBlick» du jour, c’est Mario Greco, le patron de la Zurich Assurance, qui s’exprime sur la multiplication des catastrophes naturelles. Pour lui, le rôle d’un assureur est d’essayer d’en minimiser les effets et les dommages. Ce que l’assureur fait en conseillant ses clients sur la prévention et la manière d’atténuer les conséquences des catastrophes naturelles. Il estime par ailleurs qu’à l’avenir, les primes d’assurance bâtiment seront plus élevées dans des villages tels que Blatten qu’à Zurich par exemple.
Interrogé également sur la menace des cyberattaques, Mario Greco estime qu’elles constituent le «plus grand défi» que les assureurs devront «traiter avec une grande prudence».
ou fournies via variables (ex. https://www.20min.ch/fr/story/suisse-apres-blatten-l-assurance-batiment-va-couter-plus-cher-103428250). Aucune autre URL.
– **Liste blanche stricte** (exemples) : AFP, Reuters, AP News, Le Monde, France 24, RFI, Courrier international, TV5Monde, Boursorama, Le Figaro, Libération, Le Parisien, Franceinfo, Ouest-France, Mediapart, Euronews, La Croix, Radio-Canada, CBC, Swissinfo, RTS, Africanews, Jeune Afrique, DW, The Guardian, BBC News, El País, Der Spiegel, Politico, L’Express, Challenges, Bloomberg, Financial Times, Al Jazeera, The New York Times, The Washington Post.
– S’il manque **au moins deux** liens fiables (liste blanche), afficher **immédiatement après le chapeau** :
Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.
– Dans ce cas, la section « Sources » peut rester vide ou ne contenir que `https://www.20min.ch/fr/story/suisse-apres-blatten-l-assurance-batiment-va-couter-plus-cher-103428250` s’il existe.
**Garde-fous**
– Déduis le **domaine principal** depuis
Le glissement de terrain de Blatten n’a pas seulement bouleversé un village valaisan et les habitants de la région. Il marque également un tournant pour tout le secteur suisse de l’assurance. Les propriétaires immobiliers doivent ainsi se préparer à une hausse sensible des primes d’assurance immobilière dans les prochaines années. C’est ce qu’annonce Fabian Rupprecht, directeur général du futur nouveau groupe Helvetia Bâloise, dans une interview à la «NZZ am Sonntag».
«Blatten a secoué notre branche», note-t-il. Désormais devenus plus attentifs, les assureurs refuseront toujours plus d’assurer les maisons situées dans les zones rouges, à haut risque. Et «à long terme, les primes devront augmenter, il n’y a pas d’autre solution», ajoute-t-il.
Dommages naturels: tarifs à réévaluer
Pour le groupe Helvetia, le coût de l’éboulement à Blatten se chiffre déjà à plusieurs dizaines de millions de francs, indique Fabian Rupprecht. Mais si les dégâts les plus spectaculaires surviennent en montagne, il rappelle que la grêle et les inondations frappent également les villes. Dans ce contexte, la FINMA devra bientôt réévaluer à la hausse les tarifs des assurances contre les dommages naturels, abaissés il y a quelques années, note-t-il.
Séismes: un risque majeur non assuré
Les tremblements de terre peuvent provoquer des dégâts encore plus importants que les éboulements, mais l’assurance contre les séismes n’est pas obligatoire en Suisse. Fabian Rupprecht constate toutefois une augmentation des souscriptions volontaires à une telle assurance, tout en critiquant le projet du Conseil fédéral d’une assurance conditionnelle en la matière. De son avis, «elle coûterait autant, mais au pire moment».
Selon le CEO du groupe, le temps de l’assurance bâtiment universelle et bon marché est révolu. Face à la multiplication des catastrophes naturelles, les propriétaires devront non seulement payer davantage, mais aussi accepter que, selon leur emplacement, certains biens deviennent tout simplement inassurables.
Helvetia mise massivement sur l’intelligence artificielle (IA) pour transformer son activité. «D’ici quelques années, la majorité des sinistres simples seront traités automatiquement», selon Fabian Rupprecht. L’IA permettra d’accélérer le versement des indemnités, de réduire les coûts administratifs et d’améliorer la détection des fraudes. Or, cette automatisation s’accompagne d’une suppression d’emplois massive: 500 postes devraient disparaître d’ici 2027. Cela dans le cadre d’un plan d’économies de 200 millions de francs suisses. Le CEO assure toutefois que les collaborateurs seront formés à de nouveaux métiers, liés à la gestion des données et à la cybersécurité.
Les cyberattaques sont des risques presque impossibles à assurer aujourd’hui, souligne Fabian Rupprecht. Car les données en la matière manquent et les dommages potentiels dépassent souvent la capacité financière des compagnies. En Suisse, seules les PME peuvent encore être couvertes pour de tels risques – à condition de bien évaluer leurs vulnérabilités. «Beaucoup d’entreprises pensent encore qu’elles ne seront pas ciblées. Elles se trompent», avertit le CEO, appelant à renforcer la prévention plutôt qu’à compter sur une couverture totale.
Dans le «SonntagsBlick» du jour, c’est Mario Greco, le patron de la Zurich Assurance, qui s’exprime sur la multiplication des catastrophes naturelles. Pour lui, le rôle d’un assureur est d’essayer d’en minimiser les effets et les dommages. Ce que l’assureur fait en conseillant ses clients sur la prévention et la manière d’atténuer les conséquences des catastrophes naturelles. Il estime par ailleurs qu’à l’avenir, les primes d’assurance bâtiment seront plus élevées dans des villages tels que Blatten qu’à Zurich par exemple.
Interrogé également sur la menace des cyberattaques, Mario Greco estime qu’elles constituent le «plus grand défi» que les assureurs devront «traiter avec une grande prudence».
: {santé, sécurité, économie, tech/données, climat/météo, transports/voyage, éducation, justice/politique, entreprise/emploi, sport}.
– **N’utilise jamais** de lexique ni d’exemples d’un domaine qui n’est pas celui détecté (ex. vocabulaire sportif si le sujet ≠ sport).
– N’introduis aucune personne, entreprise, institution ou pays **absent** de
Le glissement de terrain de Blatten n’a pas seulement bouleversé un village valaisan et les habitants de la région. Il marque également un tournant pour tout le secteur suisse de l’assurance. Les propriétaires immobiliers doivent ainsi se préparer à une hausse sensible des primes d’assurance immobilière dans les prochaines années. C’est ce qu’annonce Fabian Rupprecht, directeur général du futur nouveau groupe Helvetia Bâloise, dans une interview à la «NZZ am Sonntag».
«Blatten a secoué notre branche», note-t-il. Désormais devenus plus attentifs, les assureurs refuseront toujours plus d’assurer les maisons situées dans les zones rouges, à haut risque. Et «à long terme, les primes devront augmenter, il n’y a pas d’autre solution», ajoute-t-il.
Dommages naturels: tarifs à réévaluer
Pour le groupe Helvetia, le coût de l’éboulement à Blatten se chiffre déjà à plusieurs dizaines de millions de francs, indique Fabian Rupprecht. Mais si les dégâts les plus spectaculaires surviennent en montagne, il rappelle que la grêle et les inondations frappent également les villes. Dans ce contexte, la FINMA devra bientôt réévaluer à la hausse les tarifs des assurances contre les dommages naturels, abaissés il y a quelques années, note-t-il.
Séismes: un risque majeur non assuré
Les tremblements de terre peuvent provoquer des dégâts encore plus importants que les éboulements, mais l’assurance contre les séismes n’est pas obligatoire en Suisse. Fabian Rupprecht constate toutefois une augmentation des souscriptions volontaires à une telle assurance, tout en critiquant le projet du Conseil fédéral d’une assurance conditionnelle en la matière. De son avis, «elle coûterait autant, mais au pire moment».
Selon le CEO du groupe, le temps de l’assurance bâtiment universelle et bon marché est révolu. Face à la multiplication des catastrophes naturelles, les propriétaires devront non seulement payer davantage, mais aussi accepter que, selon leur emplacement, certains biens deviennent tout simplement inassurables.
Helvetia mise massivement sur l’intelligence artificielle (IA) pour transformer son activité. «D’ici quelques années, la majorité des sinistres simples seront traités automatiquement», selon Fabian Rupprecht. L’IA permettra d’accélérer le versement des indemnités, de réduire les coûts administratifs et d’améliorer la détection des fraudes. Or, cette automatisation s’accompagne d’une suppression d’emplois massive: 500 postes devraient disparaître d’ici 2027. Cela dans le cadre d’un plan d’économies de 200 millions de francs suisses. Le CEO assure toutefois que les collaborateurs seront formés à de nouveaux métiers, liés à la gestion des données et à la cybersécurité.
Les cyberattaques sont des risques presque impossibles à assurer aujourd’hui, souligne Fabian Rupprecht. Car les données en la matière manquent et les dommages potentiels dépassent souvent la capacité financière des compagnies. En Suisse, seules les PME peuvent encore être couvertes pour de tels risques – à condition de bien évaluer leurs vulnérabilités. «Beaucoup d’entreprises pensent encore qu’elles ne seront pas ciblées. Elles se trompent», avertit le CEO, appelant à renforcer la prévention plutôt qu’à compter sur une couverture totale.
Dans le «SonntagsBlick» du jour, c’est Mario Greco, le patron de la Zurich Assurance, qui s’exprime sur la multiplication des catastrophes naturelles. Pour lui, le rôle d’un assureur est d’essayer d’en minimiser les effets et les dommages. Ce que l’assureur fait en conseillant ses clients sur la prévention et la manière d’atténuer les conséquences des catastrophes naturelles. Il estime par ailleurs qu’à l’avenir, les primes d’assurance bâtiment seront plus élevées dans des villages tels que Blatten qu’à Zurich par exemple.
Interrogé également sur la menace des cyberattaques, Mario Greco estime qu’elles constituent le «plus grand défi» que les assureurs devront «traiter avec une grande prudence».
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– Si des infos manquent, écrire « non précisé » **et supprimer** tout bloc qui n’aurait que des « non précisé ».
**Mode BREAKING (si pertinent)**
– Active BREAKING si :
1) `2025-10-05 17:37:00` = aujourd’hui (ou « < 24 h » mentionné dans
Le glissement de terrain de Blatten n’a pas seulement bouleversé un village valaisan et les habitants de la région. Il marque également un tournant pour tout le secteur suisse de l’assurance. Les propriétaires immobiliers doivent ainsi se préparer à une hausse sensible des primes d’assurance immobilière dans les prochaines années. C’est ce qu’annonce Fabian Rupprecht, directeur général du futur nouveau groupe Helvetia Bâloise, dans une interview à la «NZZ am Sonntag».
«Blatten a secoué notre branche», note-t-il. Désormais devenus plus attentifs, les assureurs refuseront toujours plus d’assurer les maisons situées dans les zones rouges, à haut risque. Et «à long terme, les primes devront augmenter, il n’y a pas d’autre solution», ajoute-t-il.
Dommages naturels: tarifs à réévaluer
Pour le groupe Helvetia, le coût de l’éboulement à Blatten se chiffre déjà à plusieurs dizaines de millions de francs, indique Fabian Rupprecht. Mais si les dégâts les plus spectaculaires surviennent en montagne, il rappelle que la grêle et les inondations frappent également les villes. Dans ce contexte, la FINMA devra bientôt réévaluer à la hausse les tarifs des assurances contre les dommages naturels, abaissés il y a quelques années, note-t-il.
Séismes: un risque majeur non assuré
Les tremblements de terre peuvent provoquer des dégâts encore plus importants que les éboulements, mais l’assurance contre les séismes n’est pas obligatoire en Suisse. Fabian Rupprecht constate toutefois une augmentation des souscriptions volontaires à une telle assurance, tout en critiquant le projet du Conseil fédéral d’une assurance conditionnelle en la matière. De son avis, «elle coûterait autant, mais au pire moment».
Selon le CEO du groupe, le temps de l’assurance bâtiment universelle et bon marché est révolu. Face à la multiplication des catastrophes naturelles, les propriétaires devront non seulement payer davantage, mais aussi accepter que, selon leur emplacement, certains biens deviennent tout simplement inassurables.
Helvetia mise massivement sur l’intelligence artificielle (IA) pour transformer son activité. «D’ici quelques années, la majorité des sinistres simples seront traités automatiquement», selon Fabian Rupprecht. L’IA permettra d’accélérer le versement des indemnités, de réduire les coûts administratifs et d’améliorer la détection des fraudes. Or, cette automatisation s’accompagne d’une suppression d’emplois massive: 500 postes devraient disparaître d’ici 2027. Cela dans le cadre d’un plan d’économies de 200 millions de francs suisses. Le CEO assure toutefois que les collaborateurs seront formés à de nouveaux métiers, liés à la gestion des données et à la cybersécurité.
Les cyberattaques sont des risques presque impossibles à assurer aujourd’hui, souligne Fabian Rupprecht. Car les données en la matière manquent et les dommages potentiels dépassent souvent la capacité financière des compagnies. En Suisse, seules les PME peuvent encore être couvertes pour de tels risques – à condition de bien évaluer leurs vulnérabilités. «Beaucoup d’entreprises pensent encore qu’elles ne seront pas ciblées. Elles se trompent», avertit le CEO, appelant à renforcer la prévention plutôt qu’à compter sur une couverture totale.
Dans le «SonntagsBlick» du jour, c’est Mario Greco, le patron de la Zurich Assurance, qui s’exprime sur la multiplication des catastrophes naturelles. Pour lui, le rôle d’un assureur est d’essayer d’en minimiser les effets et les dommages. Ce que l’assureur fait en conseillant ses clients sur la prévention et la manière d’atténuer les conséquences des catastrophes naturelles. Il estime par ailleurs qu’à l’avenir, les primes d’assurance bâtiment seront plus élevées dans des villages tels que Blatten qu’à Zurich par exemple.
Interrogé également sur la menace des cyberattaques, Mario Greco estime qu’elles constituent le «plus grand défi» que les assureurs devront «traiter avec une grande prudence».
), ou
2) une **échéance officielle ≤ 72 h** après `2025-10-05 17:37:00`.
– En BREAKING : `
` **exclamatif** + **chapeau** commençant par une phrase temporelle très courte (« Mise à jour le 2025-10-05 17:37:00 : … »). Pas d’empilement d’étiquettes.
**Génération du TITRE (obligatoire)**
– Choisir la forme la plus forte disponible, dans cet ordre :
1) Exclamative si BREAKING (chiffre/échéance/autorité présents),
2) Interrogative,
3) Sobre-percutant (fallback).
– Interdits : superlatifs gratuits (« incroyable », « choc », « bouleversant »), insinuations, promesses vagues.
– Longueur cible : **70–110 caractères** ; pas d’URL ; noms propres uniquement si indispensables.
**Génération de l’INTRO (obligatoire, 2–4 phrases) — “choc → pont → suite”**
– Phrase 1 (**fait dur vérifié**) : chiffre **ou** échéance **ou** autorité, issus de
Le glissement de terrain de Blatten n’a pas seulement bouleversé un village valaisan et les habitants de la région. Il marque également un tournant pour tout le secteur suisse de l’assurance. Les propriétaires immobiliers doivent ainsi se préparer à une hausse sensible des primes d’assurance immobilière dans les prochaines années. C’est ce qu’annonce Fabian Rupprecht, directeur général du futur nouveau groupe Helvetia Bâloise, dans une interview à la «NZZ am Sonntag».
«Blatten a secoué notre branche», note-t-il. Désormais devenus plus attentifs, les assureurs refuseront toujours plus d’assurer les maisons situées dans les zones rouges, à haut risque. Et «à long terme, les primes devront augmenter, il n’y a pas d’autre solution», ajoute-t-il.
Dommages naturels: tarifs à réévaluer
Pour le groupe Helvetia, le coût de l’éboulement à Blatten se chiffre déjà à plusieurs dizaines de millions de francs, indique Fabian Rupprecht. Mais si les dégâts les plus spectaculaires surviennent en montagne, il rappelle que la grêle et les inondations frappent également les villes. Dans ce contexte, la FINMA devra bientôt réévaluer à la hausse les tarifs des assurances contre les dommages naturels, abaissés il y a quelques années, note-t-il.
Séismes: un risque majeur non assuré
Les tremblements de terre peuvent provoquer des dégâts encore plus importants que les éboulements, mais l’assurance contre les séismes n’est pas obligatoire en Suisse. Fabian Rupprecht constate toutefois une augmentation des souscriptions volontaires à une telle assurance, tout en critiquant le projet du Conseil fédéral d’une assurance conditionnelle en la matière. De son avis, «elle coûterait autant, mais au pire moment».
Selon le CEO du groupe, le temps de l’assurance bâtiment universelle et bon marché est révolu. Face à la multiplication des catastrophes naturelles, les propriétaires devront non seulement payer davantage, mais aussi accepter que, selon leur emplacement, certains biens deviennent tout simplement inassurables.
Helvetia mise massivement sur l’intelligence artificielle (IA) pour transformer son activité. «D’ici quelques années, la majorité des sinistres simples seront traités automatiquement», selon Fabian Rupprecht. L’IA permettra d’accélérer le versement des indemnités, de réduire les coûts administratifs et d’améliorer la détection des fraudes. Or, cette automatisation s’accompagne d’une suppression d’emplois massive: 500 postes devraient disparaître d’ici 2027. Cela dans le cadre d’un plan d’économies de 200 millions de francs suisses. Le CEO assure toutefois que les collaborateurs seront formés à de nouveaux métiers, liés à la gestion des données et à la cybersécurité.
Les cyberattaques sont des risques presque impossibles à assurer aujourd’hui, souligne Fabian Rupprecht. Car les données en la matière manquent et les dommages potentiels dépassent souvent la capacité financière des compagnies. En Suisse, seules les PME peuvent encore être couvertes pour de tels risques – à condition de bien évaluer leurs vulnérabilités. «Beaucoup d’entreprises pensent encore qu’elles ne seront pas ciblées. Elles se trompent», avertit le CEO, appelant à renforcer la prévention plutôt qu’à compter sur une couverture totale.
Dans le «SonntagsBlick» du jour, c’est Mario Greco, le patron de la Zurich Assurance, qui s’exprime sur la multiplication des catastrophes naturelles. Pour lui, le rôle d’un assureur est d’essayer d’en minimiser les effets et les dommages. Ce que l’assureur fait en conseillant ses clients sur la prévention et la manière d’atténuer les conséquences des catastrophes naturelles. Il estime par ailleurs qu’à l’avenir, les primes d’assurance bâtiment seront plus élevées dans des villages tels que Blatten qu’à Zurich par exemple.
Interrogé également sur la menace des cyberattaques, Mario Greco estime qu’elles constituent le «plus grand défi» que les assureurs devront «traiter avec une grande prudence».
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– Phrase 2 (**pourquoi vous**) : impact direct pour le lecteur (argent/santé/sécurité/données/voyage/emploi).
– Phrase 3 (**urgence/risque** ou **incertitude** si applicable).
– Phrase 4 (**prochaine étape**) : calendrier/procédure si disponible.
– Si aucun « fait dur » n’est disponible, basculer en sobre-percutant (ne pas forcer le “choc”).
Titre reformulé factuel et engageant
[1–2 phrases très courtes : fait principal + impact immédiat. Si BREAKING : « Mise à jour le 2025-10-05 17:37:00 : … »]
[2–4 phrases : fait vérifié ; pourquoi cela vous concerne ; urgence/risque ou incertitudes ; prochaines étapes si disponibles. Aucune URL ici.]
Ce qu’il faut savoir
- Le fait : [résumé en une phrase].
- Qui est concerné : [public/secteurs explicitement mentionnés].
- Quand : [date d’effet/échéance] ; supprimer la ligne si non précisé.
- Où : [pays/zone concernés si cités] ; supprimer la ligne si non précisé.
Chiffres clés
- [indicateur #1 : valeur + unité + période]
- [indicateur #2 : valeur + unité + période]
Concrètement, pour vous
- Ce qui change : [obligation, droit, coût, restriction, avantage].
- Démarches utiles : [action/justificatif] si présent ; sinon supprimer la ligne.
- Risques si vous n’agissez pas : [sanction/perte/retard] si mentionné ; sinon supprimer.
- Exceptions : [si présentes] ; sinon supprimer.
Contexte
[Repères utiles (cadre légal, historique, géopolitique) strictement issus de
Le glissement de terrain de Blatten n’a pas seulement bouleversé un village valaisan et les habitants de la région. Il marque également un tournant pour tout le secteur suisse de l’assurance. Les propriétaires immobiliers doivent ainsi se préparer à une hausse sensible des primes d’assurance immobilière dans les prochaines années. C’est ce qu’annonce Fabian Rupprecht, directeur général du futur nouveau groupe Helvetia Bâloise, dans une interview à la «NZZ am Sonntag».
«Blatten a secoué notre branche», note-t-il. Désormais devenus plus attentifs, les assureurs refuseront toujours plus d’assurer les maisons situées dans les zones rouges, à haut risque. Et «à long terme, les primes devront augmenter, il n’y a pas d’autre solution», ajoute-t-il.
Dommages naturels: tarifs à réévaluer
Pour le groupe Helvetia, le coût de l’éboulement à Blatten se chiffre déjà à plusieurs dizaines de millions de francs, indique Fabian Rupprecht. Mais si les dégâts les plus spectaculaires surviennent en montagne, il rappelle que la grêle et les inondations frappent également les villes. Dans ce contexte, la FINMA devra bientôt réévaluer à la hausse les tarifs des assurances contre les dommages naturels, abaissés il y a quelques années, note-t-il.
Séismes: un risque majeur non assuré
Les tremblements de terre peuvent provoquer des dégâts encore plus importants que les éboulements, mais l’assurance contre les séismes n’est pas obligatoire en Suisse. Fabian Rupprecht constate toutefois une augmentation des souscriptions volontaires à une telle assurance, tout en critiquant le projet du Conseil fédéral d’une assurance conditionnelle en la matière. De son avis, «elle coûterait autant, mais au pire moment».
Selon le CEO du groupe, le temps de l’assurance bâtiment universelle et bon marché est révolu. Face à la multiplication des catastrophes naturelles, les propriétaires devront non seulement payer davantage, mais aussi accepter que, selon leur emplacement, certains biens deviennent tout simplement inassurables.
Helvetia mise massivement sur l’intelligence artificielle (IA) pour transformer son activité. «D’ici quelques années, la majorité des sinistres simples seront traités automatiquement», selon Fabian Rupprecht. L’IA permettra d’accélérer le versement des indemnités, de réduire les coûts administratifs et d’améliorer la détection des fraudes. Or, cette automatisation s’accompagne d’une suppression d’emplois massive: 500 postes devraient disparaître d’ici 2027. Cela dans le cadre d’un plan d’économies de 200 millions de francs suisses. Le CEO assure toutefois que les collaborateurs seront formés à de nouveaux métiers, liés à la gestion des données et à la cybersécurité.
Les cyberattaques sont des risques presque impossibles à assurer aujourd’hui, souligne Fabian Rupprecht. Car les données en la matière manquent et les dommages potentiels dépassent souvent la capacité financière des compagnies. En Suisse, seules les PME peuvent encore être couvertes pour de tels risques – à condition de bien évaluer leurs vulnérabilités. «Beaucoup d’entreprises pensent encore qu’elles ne seront pas ciblées. Elles se trompent», avertit le CEO, appelant à renforcer la prévention plutôt qu’à compter sur une couverture totale.
Dans le «SonntagsBlick» du jour, c’est Mario Greco, le patron de la Zurich Assurance, qui s’exprime sur la multiplication des catastrophes naturelles. Pour lui, le rôle d’un assureur est d’essayer d’en minimiser les effets et les dommages. Ce que l’assureur fait en conseillant ses clients sur la prévention et la manière d’atténuer les conséquences des catastrophes naturelles. Il estime par ailleurs qu’à l’avenir, les primes d’assurance bâtiment seront plus élevées dans des villages tels que Blatten qu’à Zurich par exemple.
Interrogé également sur la menace des cyberattaques, Mario Greco estime qu’elles constituent le «plus grand défi» que les assureurs devront «traiter avec une grande prudence».
; phrases brèves, sans jargon.]
Ce qui reste à préciser
- [point flou #1]
- [point flou #2]
Citation
« Citation exacte » — Nom/Titre, Date précise (uniquement si fournie dans
Le glissement de terrain de Blatten n’a pas seulement bouleversé un village valaisan et les habitants de la région. Il marque également un tournant pour tout le secteur suisse de l’assurance. Les propriétaires immobiliers doivent ainsi se préparer à une hausse sensible des primes d’assurance immobilière dans les prochaines années. C’est ce qu’annonce Fabian Rupprecht, directeur général du futur nouveau groupe Helvetia Bâloise, dans une interview à la «NZZ am Sonntag».
«Blatten a secoué notre branche», note-t-il. Désormais devenus plus attentifs, les assureurs refuseront toujours plus d’assurer les maisons situées dans les zones rouges, à haut risque. Et «à long terme, les primes devront augmenter, il n’y a pas d’autre solution», ajoute-t-il.
Dommages naturels: tarifs à réévaluer
Pour le groupe Helvetia, le coût de l’éboulement à Blatten se chiffre déjà à plusieurs dizaines de millions de francs, indique Fabian Rupprecht. Mais si les dégâts les plus spectaculaires surviennent en montagne, il rappelle que la grêle et les inondations frappent également les villes. Dans ce contexte, la FINMA devra bientôt réévaluer à la hausse les tarifs des assurances contre les dommages naturels, abaissés il y a quelques années, note-t-il.
Séismes: un risque majeur non assuré
Les tremblements de terre peuvent provoquer des dégâts encore plus importants que les éboulements, mais l’assurance contre les séismes n’est pas obligatoire en Suisse. Fabian Rupprecht constate toutefois une augmentation des souscriptions volontaires à une telle assurance, tout en critiquant le projet du Conseil fédéral d’une assurance conditionnelle en la matière. De son avis, «elle coûterait autant, mais au pire moment».
Selon le CEO du groupe, le temps de l’assurance bâtiment universelle et bon marché est révolu. Face à la multiplication des catastrophes naturelles, les propriétaires devront non seulement payer davantage, mais aussi accepter que, selon leur emplacement, certains biens deviennent tout simplement inassurables.
Sinistres traités par l’IAHelvetia mise massivement sur l’intelligence artificielle (IA) pour transformer son activité. «D’ici quelques années, la majorité des sinistres simples seront traités automatiquement», selon Fabian Rupprecht. L’IA permettra d’accélérer le versement des indemnités, de réduire les coûts administratifs et d’améliorer la détection des fraudes. Or, cette automatisation s’accompagne d’une suppression d’emplois massive: 500 postes devraient disparaître d’ici 2027. Cela dans le cadre d’un plan d’économies de 200 millions de francs suisses. Le CEO assure toutefois que les collaborateurs seront formés à de nouveaux métiers, liés à la gestion des données et à la cybersécurité.
Cybersécurité inassurableLes cyberattaques sont des risques presque impossibles à assurer aujourd’hui, souligne Fabian Rupprecht. Car les données en la matière manquent et les dommages potentiels dépassent souvent la capacité financière des compagnies. En Suisse, seules les PME peuvent encore être couvertes pour de tels risques – à condition de bien évaluer leurs vulnérabilités. «Beaucoup d’entreprises pensent encore qu’elles ne seront pas ciblées. Elles se trompent», avertit le CEO, appelant à renforcer la prévention plutôt qu’à compter sur une couverture totale.
Même son de cloche du patron de la Zurich AssurancesDans le «SonntagsBlick» du jour, c’est Mario Greco, le patron de la Zurich Assurance, qui s’exprime sur la multiplication des catastrophes naturelles. Pour lui, le rôle d’un assureur est d’essayer d’en minimiser les effets et les dommages. Ce que l’assureur fait en conseillant ses clients sur la prévention et la manière d’atténuer les conséquences des catastrophes naturelles. Il estime par ailleurs qu’à l’avenir, les primes d’assurance bâtiment seront plus élevées dans des villages tels que Blatten qu’à Zurich par exemple.
Interrogé également sur la menace des cyberattaques, Mario Greco estime qu’elles constituent le «plus grand défi» que les assureurs devront «traiter avec une grande prudence».
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Sources
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Date de publication : 2025-10-05 17:37:00
Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Article vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.
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