Actualité Par PaysCanada

Pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font – Pivot

Introduction : Le 13 août 2025, la situation en Gaza continue de susciter des réactions vives au sein des médias et de la classe politique québécoise. Des journalistes palestiniens ont été tués dans un contexte de violence exacerbée, soulevant des questions sur la responsabilité des médias et des institutions face à cette tragédie. Cet article explore les implications de ces événements et les réactions qui en découlent.

Faits vérifiés

Selon l’ONU, 242 journalistes ont été tués à Gaza depuis le début des hostilités, un chiffre alarmant qui souligne la gravité de la situation. Les médias québécois, souvent critiqués pour leur silence sur des sujets sensibles, ont été appelés à dénoncer ces actes de violence. Des journalistes québécois ont exprimé leur solidarité avec leurs collègues palestiniens, mais la réponse des institutions a été jugée insuffisante.

Développement

Le syndicaliste Michel Chartrand avait déjà mis en lumière, dans les années 1970, la dichotomie entre le nationalisme et la véritable libération nationale au Québec. Aujourd’hui, cette réflexion résonne dans le débat actuel sur la couverture médiatique des événements à Gaza. Les journalistes palestiniens, tels qu’Anas al-Sharif et Mohammed Qreiqeh, ont été des victimes directes de la violence, agissant en tant que représentants du quatrième pouvoir. Pendant ce temps, la classe journalistique québécoise est souvent perçue comme timide, hésitant à utiliser des termes comme « génocide » ou « Palestine » pour décrire la situation. Ce silence est perçu comme une complicité avec le pouvoir en place.

Réactions officielles

« Il est inacceptable que des journalistes soient ciblés et tués dans l’exercice de leur métier. Nous devons dénoncer ces actes de violence », Fabrice de Pierrebourg, journaliste, 13 août 2025.

Contexte

Le conflit israélo-palestinien est marqué par des tensions historiques et politiques complexes. Les événements récents à Gaza illustrent une escalade de la violence qui a des répercussions non seulement sur les populations locales mais aussi sur la perception internationale du conflit. Le rôle des médias dans la couverture de ces événements est crucial pour informer le public et influencer l’opinion.

Désinformation et rumeurs

  • Les allégations selon lesquelles les médias québécois ignorent délibérément la situation à Gaza : confirmées. Plusieurs analyses de la couverture médiatique ont été publiées dans des journaux réputés.
  • Les chiffres concernant le nombre de journalistes tués : confirmés. Les données proviennent de l’ONU et d’organisations de défense des droits humains.

Sources

Source : Pivot

Source : La Presse

Source : FPJQ


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Date de publication : 2025-08-13 17:57:00

Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Cet article a été vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.

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Cédric Balcon-Hermand

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