23.10.2025 Cédric Balcon-Hermand 16 Views 0 Comments

Afrique du Sud: une commission d’enquête met en cause le ministre de la Police

Le 17 septembre, une commission examine des liens crime–police–politique. Le ministre Senzo Mchunu est visé; l’affaire touche Cyril Ramaphosa.

À l’origine, des révélations en juillet du chef de la police du Kwazulu-Natal. Il accuse le ministre d’avoir démantelé une unité sur les assassinats politiques. Le président a lancé une commission et placé le ministre en congé. La sécurité publique est en jeu, et l’issue reste incertaine.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : une commission enquête sur d’éventuels liens entre crime, police et politique.
Qui est concerné : ministère de la Police, forces de l’ordre, responsables politiques, citoyens sud-africains.
Quand : depuis le 17 septembre, après des révélations en juillet.
Où : Afrique du Sud, avec un foyer au Kwazulu-Natal.

Chiffres clés

17 septembre : ouverture de la commission d’enquête.
Depuis 2019 : commissions d’enquête ordonnées régulièrement par le président.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : aucun changement immédiat pour le public; enquête en cours.
Démarches utiles : suivre les annonces officielles avant tout déplacement dans la région.
Risques si vous n’agissez pas : informations de sécurité potentiellement manquées.
Exceptions : aucune mention d’exceptions dans les sources.

Contexte

La commission vise des liens possibles entre crime organisé, forces de l’ordre et monde politique. Elle met en accusation le ministre Senzo Mchunu, allié du président Cyril Ramaphosa. Le chef de la police du Kwazulu-Natal, Nhlanhla Mkhwanazi, affirme que le ministre a démantelé une unité enquêtant sur des assassinats politiques. Le président a ouvert une commission et le ministre a été placé en congé, selon l’agence gouvernementale. Les commissions manquent souvent de preuves, mais le lieutenant général Dumisani Khumalo a été entendu.