Micheline Jacques : « Les nouvelles taxes sont populistes »

Introduction : Le 28 octobre 2025, à l’Assemblée nationale, les débats sur le budget s’intensifient. Micheline Jacques, sénatrice de Saint-Barthélemy, critique les nouvelles taxes proposées, les qualifiant de populistes. Dans un contexte économique tendu, elle appelle à un soutien à l’entrepreneuriat plutôt qu’à une augmentation des impôts.

Ce qu’il faut retenir

Les socialistes menacent de censure si un accord sur le budget n’est pas trouvé.
Une taxe Zucman de 2 à 3% sur les hauts patrimoines est envisagée, touchant les entreprises et les particuliers.
Micheline Jacques dénonce l’impact négatif de ces taxes sur l’économie et l’emploi.
Les prix des produits alimentaires dans les outre-mer sont 30 à 40% plus élevés qu’en métropole.
Elle appelle à un examen approfondi des causes de la vie chère, au-delà des marges et des prix.

Faits vérifiés

Les débats sur le budget à l’Assemblée nationale sont marqués par une forte opposition du Parti Socialiste, qui utilise sa majorité pour faire pression sur le gouvernement. Selon des sources fiables comme Le Monde et France 24, la proposition de taxe Zucman pourrait générer des tensions supplémentaires au sein de l’exécutif. Micheline Jacques, en tant que présidente de la délégation sénatoriale aux outre-mer, souligne les défis économiques spécifiques rencontrés par les territoires ultramarins.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : les produits alimentaires coûtent jusqu’à 40% plus cher dans les outre-mer que dans l’Hexagone, un fait qui exacerbe les inégalités et la colère des consommateurs.

Réactions officielles et citations

« Les nouvelles taxes proposées dans le budget sont populistes, et ne vont faire qu’affaiblir l’économie. » — Micheline Jacques, Sénatrice, 28 octobre 2025.

Analyse & Contexte

La déclaration de Micheline Jacques met en lumière un enjeu politique crucial : la gestion des finances publiques face à une crise économique persistante. En critiquant les nouvelles taxes, elle soulève des questions sur la viabilité des mesures fiscales dans un contexte où le soutien à l’entrepreneuriat est essentiel pour relancer l’économie. La situation des outre-mer, où la vie chère est exacerbée par des coûts d’importation élevés, nécessite une attention particulière et des solutions structurelles.