La montée de l’OCAM et son impact sur la politique répressive en Belgique
Introduction : Le 4 juillet 2025, un rapport de l’OCAM a été rendu public, soulevant des préoccupations concernant la radicalisation au sein du mouvement climat et la présence croissante de l’extrême gauche dans le mouvement écologiste. Ce rapport marque un tournant dans la stratégie de répression en Belgique, illustrant une évolution significative dans l’exercice du pouvoir.
Faits vérifiés
Depuis sa création en 2006, l’OCAM (Organe de Coordination pour l’Analyse de la Menace) est devenu un acteur central dans la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme en Belgique. Son rôle a été renforcé par des événements récents, notamment des analyses qui ont conduit à des mesures de répression ciblées contre des individus et des groupes jugés dangereux.
Développement
Le rapport de l’OCAM a mis en lumière une augmentation des sabotages au sein du mouvement Code Rouge, ce qui a conduit à une intensification des mesures de surveillance et d’intervention. L’OCAM, sous la tutelle des ministères de l’Intérieur et de la Justice, a pour mission d’évaluer la menace terroriste et d’anticiper les évolutions sociopolitiques susceptibles d’alimenter la radicalisation. Cette approche préventive repose sur une collecte de données et une analyse des comportements, souvent sans fondement juridique clair.
Les critiques se sont intensifiées concernant la légitimité des décisions prises sur la base des analyses de l’OCAM. Par exemple, le député Van Tigchelt a déclaré que la présence de noms sur la liste de l’OCAM équivalait à une confirmation de dangerosité, ce qui soulève des questions sur l’absence de contrôle judiciaire dans ces décisions.
Réactions officielles
« Le fait que désormais deux membres figurent sur la liste de l’OCAM signifie qu’ils sont effectivement dangereux », Van Tigchelt, Député, 16 juillet 2025.
Contexte
La création de l’OCAM s’inscrit dans un contexte plus large de lutte contre le terrorisme, marqué par des événements tels que les attentats de Bruxelles en mars 2016. Ce contexte a conduit à une militarisation des politiques de sécurité et à une surveillance accrue des populations, notamment des communautés perçues comme à risque.
Désinformation et rumeurs
- Affirmation selon laquelle l’OCAM ne fait que surveiller les menaces réelles : non prouvée. Mention des médias comme Le Monde et AFP.
- Affirmation que les décisions de l’OCAM sont basées sur des faits avérés : réfutée. Mention des médias comme Libération et RFI.
Sources
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Date de publication : 2025-08-30 11:51:00
Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Cet article a été vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.
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