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La gauche albigeoise mise sur la démocratie participative pour gérer la ville au XXIe siècle

Introduction : Ce dimanche 31 août 2025, le collectif pour Albi a tenu ses assises à Albi, où la gauche albigeoise a présenté sa méthode de gestion municipale axée sur la démocratie participative. L’événement a été l’occasion de discuter des défis à venir et de la nécessité d’une approche collaborative pour l’avenir de la ville.

Faits vérifiés

Les assises du collectif pour Albi ont été marquées par un message clair : il ne s’agit pas de critiquer la municipalité actuelle, mais de proposer des solutions concrètes. Nathalie Ferrand-Lefranc, tête de liste du collectif, a souligné l’importance de « poser ce qu’on veut faire pour répondre tous ensemble aux grands défis qui s’annoncent ». Ce modèle de démocratie participative a déjà fait ses preuves dans d’autres villes comme Poitiers et Castanet-Tolosan.

Développement

Le collectif, qui a vu son nombre d’adhérents passer de 70 à 130, attire de nombreux jeunes souhaitant s’engager politiquement. Claire, une nouvelle membre, a déclaré : « L’intérêt, c’est l’intelligence collective, réfléchir en commun à un avenir résilient. » Les participants affirment que la démocratie participative est bien plus structurée que les assemblées générales des décennies passées, avec des outils de décision comme le jugement majoritaire.

Patrick Vieu, ancien candidat aux municipales, a ajouté que le défi pour la gauche est de ne pas être perçue comme une simple opposition. « Le piège est d’être perçu comme une opposition qui ne sait que dire non », a-t-il précisé. Le collectif travaille actuellement à l’élaboration d’un programme pour les prochaines élections municipales, en impliquant les habitants dans le processus.

Réactions officielles

« Le but n’est pas de dénoncer ce qui va de travers, mais de poser ce qu’on veut faire », Nathalie Ferrand-Lefranc, Tête de liste du collectif pour Albi, 31 août 2025.

Contexte

La démocratie participative est un concept qui remonte à l’Antiquité grecque, mais qui a récemment gagné en popularité dans plusieurs villes françaises. Ce modèle vise à impliquer les citoyens dans le processus décisionnel, en réponse à une demande croissante de transparence et de participation dans la gouvernance locale.

Désinformation et rumeurs

  • La démocratie participative est perçue comme « le bordel » : réfutée. Plusieurs sources ont confirmé que des cadres organisés existent pour structurer ces processus.

Sources

Source : La Dépêche

Source : La Dépêche


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Date de publication : 2025-08-31 17:14:00

Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Cet article a été vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.

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Cédric Balcon-Hermand

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