26.10.2025 Cédric Balcon-Hermand 2 Views 0 Comments

Voyager sans culpabilité : l’essor du tourisme durable face à l’impact carbone

Le transport aérien représente 75 % des émissions de CO2 d’un voyage. Face à cela, des alternatives émergent pour voyager plus durablement.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Découvrir le monde tout en limitant son bilan carbone est un défi majeur. Le transport aérien, en effet, concentre une part significative des émissions de gaz à effet de serre. Pour certains, la solution réside dans le « flygskam », ou la honte de prendre l’avion, comme l’illustre Greta Thunberg. Elle privilégie des moyens de transport plus écologiques, comme le bateau ou le train.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Le transport aérien est responsable de 75 % des émissions de CO2 d’un voyage.
Qui est concerné : Les voyageurs soucieux de leur impact environnemental.
Quand : Actuellement, avec une tendance croissante vers le tourisme durable.
Où : À l’échelle mondiale, notamment en Europe.

Chiffres clés

75 % : part des émissions de CO2 dues au transport aérien par voyage.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Les voyageurs sont incités à choisir des séjours plus longs et des destinations plus proches.
Démarches utiles : Considérer des alternatives comme le train ou le bateau.
Risques si vous n’agissez pas : Contribuer à l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre.

Contexte

Le voyagiste Evaneos propose désormais des séjours adaptés à la durée de vol. Cela reflète une prise de conscience croissante des enjeux environnementaux liés au tourisme. Les voyageurs cherchent à rentabiliser leurs déplacements tout en réduisant leur empreinte carbone.