Parfum Anatole Lebreton : Découvrez Duende, une œuvre olfactive intrigante
Mise à jour le 2025-09-15 10:28:00 : Le parfum Duende d’Anatole Lebreton propose une expérience sensorielle unique. Ce parfum, qui joue sur des notes audacieuses, pourrait séduire les amateurs de fragrances atypiques.
Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.
Duende, le dernier parfum d’Anatole Lebreton, se distingue par son mélange audacieux d’ingrédients. Ce parfum pourrait transformer votre perception des senteurs traditionnelles. Les amateurs de parfumerie pourraient trouver dans Duende une expérience à la fois radicale et accessible. La critique de ce parfum est à découvrir dans Nez, la revue olfactive #19, Le bien et le mal.
Ce qu’il faut savoir
- Le fait : Duende est un parfum qui joue sur des notes de piment vert, clou de girofle et oud.
- Qui est concerné : Les amateurs de parfumerie et de créations olfactives uniques.
- Quand : Non précisé.
- Où : Non précisé.
Concrètement, pour vous
- Ce qui change : Une nouvelle expérience olfactive qui pourrait redéfinir votre goût pour les parfums.
- Démarches utiles : Non précisé.
- Risques si vous n’agissez pas : Manquer une occasion de découvrir une œuvre olfactive innovante.
- Exceptions : Non précisé.
Contexte
Chaque composition du parfumeur installé à Cabasse, en Provence, place au moins un ingrédient qu’on pensait connaître par cœur sous une lumière inédite : Cornaline exhalait un ylang-ylang vert, paré de sensualité vintage, tandis que Fleur cachée invitait à redécouvrir la vanille à travers ses facettes florales et épicées. Mais si Duende adopte une signature similaire, c’est davantage par un troublant jeu d’ombres que ses matières premières s’expriment. Duende ? Le mot désigne l’état de transe s’emparant de l’artiste de flamenco, « le premier jet comme un jaillissement incontrôlé », résume Anatole Lebreton. La fièvre surgit en effet sans crier gare, avec le souffle intense d’un accord de piment vert et de clou de girofle à peine nappé de miel, aussitôt rejoint par la bourrasque bestiale d’un oud du Laos, se lovant dans les replis rugueux d’un cacao âpre et terreux. Après ces riffs incandescents, la vibration reste animale – cypriol, civette et castoréum –, mais la mélodie s’offre les notes fruitées réconfortantes du davana, pour un final ambré et sensuel au sillage profond. Une œuvre radicale mais lisible, qu’apprécieront les nez aventureux.
Cette critique est à retrouver dans Nez, la revue olfactive #19, Le bien et le mal .
Ce qui reste à préciser
- Non précisé.
- Non précisé.
Citation
« Duende adopte une signature similaire, c’est davantage par un troublant jeu d’ombres que ses matières premières s’expriment. » — Anatole Lebreton, 2025-09-15
Sources
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Date de publication : 2025-09-15 10:28:00
Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Article vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.
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