24.10.2025 Cédric Balcon-Hermand 10 Views 0 Comments

Addiction aux écrans : libérons les jeunes dans l’espace public

Introduction : Le 24 octobre 2025, Grégoire Borst, professeur de psychologie du développement, a soulevé un point crucial : la nécessité de repenser notre rapport aux jeunes dans l’espace public. Alors que l’addiction aux écrans est de plus en plus scrutée, il est temps de laisser les jeunes s’épanouir à l’extérieur sans jugement. Ce débat soulève des enjeux sociétaux majeurs.

Ce qu’il faut retenir

Les jeunes sont souvent criminalisés lorsqu’ils se rassemblent dans l’espace public, ce qui nuit à leur liberté.
Le rayon d’action des enfants a considérablement diminué, passant de 3 à 6 km à seulement 300 mètres.
Il est essentiel de proposer des alternatives aux réseaux sociaux pour encourager des interactions saines.
Investir dans des activités en plein air pourrait réduire l’addiction aux écrans.
Changer notre perception de la jeunesse est crucial pour leur développement social.

Faits vérifiés

Des études récentes rapportées par des médias tels que Le Monde et France 24 confirment que la criminalisation des rassemblements de jeunes contribue à une stigmatisation injuste. Les experts s’accordent à dire que cette perception négative nuit à leur bien-être et à leur développement social.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : le rayon d’action des enfants a chuté de 3 à 6 km à seulement 300 mètres en deux décennies. Ce constat alarmant interpelle sur la liberté des jeunes dans notre société moderne.

Réactions officielles et citations

« Il est impératif de changer notre rapport à la jeunesse et de leur offrir des alternatives aux réseaux sociaux. » — Grégoire Borst, Professeur de psychologie, 24 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Ce débat met en lumière un enjeu social crucial : la liberté des jeunes dans l’espace public. Alors que l’addiction aux écrans est un sujet brûlant, la stigmatisation des jeunes qui se rassemblent peut avoir des conséquences néfastes sur leur développement. En encourageant des interactions saines et en leur permettant de se déplacer librement, nous pourrions non seulement réduire leur dépendance aux écrans, mais aussi favoriser leur épanouissement personnel.