28.10.2025 Cédric Balcon-Hermand 0 Vue 0 commentaires

Rénovation énergétique : les certificats d’économie d’énergie, un dispositif controversé

Mise à jour le 2025-10-25 10:47:00 : Le budget de MaPrimeRenov’ diminue, laissant les ménages dépendants des certificats d’économie d’énergie, un système critiqué.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Le budget de MaPrimeRenov’ passe de 2 milliards à 1,5 milliard d’euros en 2026.
Qui est concerné : Les ménages, en particulier ceux à revenus modestes.
Quand : À partir de 2026.
Où : En France.

Chiffres clés

164 euros par an : contribution moyenne par ménage français pour financer les CEE en 2023.
30 % : surestimation des économies d’énergie selon la Cour des comptes en 2022 et 2023.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Diminution des aides pour les rénovations individuelles.
Démarches utiles : Se renseigner sur les certificats d’économie d’énergie disponibles.
Risques si vous n’agissez pas : Augmentation des coûts énergétiques pour les logements mal isolés.

Contexte

Les épisodes de chaleur extrême cet été ont mis en lumière l’urgence de la rénovation énergétique. En 2026, le budget de MaPrimeRenov’ sera réduit, ce qui pousse les ménages à se tourner vers les certificats d’économie d’énergie (CEE). Ces derniers, instaurés en 2005, obligent les fournisseurs d’énergie à financer des travaux de réduction de consommation. Cependant, leur efficacité et leur équité sont remises en question.

Ce qui reste à préciser

Les critères d’éligibilité pour les CEE sont complexes et varient selon les fournisseurs.
Le coût de ces aides est répercuté sur les usagers, souvent de manière opaque.

Citation

« La dépense publique ne doit pas se désengager de la rénovation énergétique au profit d’un dispositif complexe, opaque et injuste socialement. » — Clarisse Berger, UFC-Que Choisir