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– Titre : Caisse genevoise pour l’alimentation: Une initiative solidaire pour tous
– Contenu brut :
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Genève: Des Genevois feront caisse commune pour se nourrir
Au bout du lac, des habitants lancent la Caisse genevoise pour l’alimentation. Plus qu’un dispositif d’aide, il s’agit d’offrir de la nourriture «saine et choisie».
Les membres de la Calim pourront dépenser leurs Radis sur des stands de marché, entre autres.
IMAGO/NurPhoto
Dès ce mercredi, ils se nourriront avec des radis. Ils, ce sont les membres de la Caisse genevoise de l’alimentation (Calim), et les Radis, la monnaie numérique qui leur permettra d’acheter de la nourriture dans treize lieux pour l’instant: fermes, épiceries solidaires, boulangerie ou stands sur des marchés. Destinée à tous les citoyens du canton, la Calim a été initiée en 2024 par deux comités d’habitants des Pâquis et de Meyrin. Elle fait suite à l’inscription du droit à l’alimentation dans la Constitution genevoise, votée en juin 2023, indique Sabine Bally, membre de la coordination: «On voit que la nourriture est un problème de santé publique, explique-t-elle. Le Covid a aussi mis en lumière la problématique de la précarité alimentaire», en référence aux longues files devant les Vernets, en pleine pandémie.
La Calim fonctionne avec un système de cotisations solidaires, les uns couvrant en partie les besoins des autres (voir encadré plus bas). Ainsi, selon sa situation personnelle, le montant est de 20 francs au minimum jusqu’à 200 francs par mois, ou plus. En contrepartie, chaque membre reçoit une somme fixe de 150 francs en Radis.
«Comprendre le système alimentaire»
Pour autant, le principe de la Calim n’est pas seulement d’offrir une aide alimentaire, mais aussi de «se réapproprier l’alimentation», poursuit la responsable. «Les mangeurs choisissent par exemple les lieux partenaires. Au-delà de l’acte d’achat, c’est comprendre le système alimentaire: qualité, provenance, mode de production, goût, dimension nutritionnelle. Nous organisons des réunions avec nos membres: visite de ferme, tables rondes d’information, projections de film. Ce qui est important est que tout le monde soit acteur du système et puisse prendre des décisions en toute connaissance de cause.» Quant aux produits proposés, «il y a de tout», assure Sabine Bally: viande, poisson, céréales, légumes, produits secs. Tous «ne sont pas forcément produits à Genève, mais il y a une traçabilité et une information pour savoir d’où ils viennent et comment ils ont été produits et acheminés.»
Jusqu’à 400 membres
Comptant aujourd’hui 207 membres, la Calim pourra accueillir quelque 400 personnes lors de sa phase pilote jusqu’en décembre 2026. Un bilan sera alors tiré «et nous adapterons notre modèle économique». Le but est de se doter «petit à petit» d’un comité d’habitants dans chaque commune du canton. «On aimerait monter en échelle. Il y a un énorme intérêt, les gens veulent en être, et pas seulement des personnes qui paient le minimum.»
Radis à moitié subventionnés
Avec leurs cotisations, les quelque 200 membres actuels de la Calim financent un peu plus que la moitié du coût total du dispositif, précise Sabine Bally. Parmi eux, 18% paient plus que ce qu’ils reçoivent, et 14% versent autant qu’ils reçoivent. Le «delta» choisi pour le système, à savoir la part non couverte par les cotisations, a été fixé à 50% pour la phase expérimentale, pris en charge par des subventions privées et publiques: «On est conscients qu’à terme, il faudra que cela soit différent. En France, il y a des projets similaires, à Montpellier notamment. Certains redistribuent ce qu’ils reçoivent uniquement, mais la somme reçue est donc variable.»
– Date : 2025-09-30 20:40:00
**Ligne éditoriale (obligatoire)**
– Lisible grand public : phrases courtes (8–16 mots), vocabulaire simple, paragraphes de 2–3 lignes.
– Pyramide inversée : l’essentiel d’abord, les détails ensuite, le contexte en fin.
– Intérêt public prioritaire : santé, sécurité, données personnelles, pouvoir d’achat, mobilité, emploi.
– Transparence : séparer clairement ce qui est confirmé, ce qui reste à préciser.
– ZÉRO sensationnalisme gratuit ; ton ferme et factuel ; aucune opinion partisane.
**Anti-hallucination (obligatoire)**
– N’invente jamais d’URL, de noms, d’entités, de dates, de chiffres, ni de citations.
– **Sources** : n’insère comme lien que des URL **présentes textuellement** dans
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Genève: Des Genevois feront caisse commune pour se nourrir
Au bout du lac, des habitants lancent la Caisse genevoise pour l’alimentation. Plus qu’un dispositif d’aide, il s’agit d’offrir de la nourriture «saine et choisie».
Les membres de la Calim pourront dépenser leurs Radis sur des stands de marché, entre autres.
IMAGO/NurPhoto
Dès ce mercredi, ils se nourriront avec des radis. Ils, ce sont les membres de la Caisse genevoise de l’alimentation (Calim), et les Radis, la monnaie numérique qui leur permettra d’acheter de la nourriture dans treize lieux pour l’instant: fermes, épiceries solidaires, boulangerie ou stands sur des marchés. Destinée à tous les citoyens du canton, la Calim a été initiée en 2024 par deux comités d’habitants des Pâquis et de Meyrin. Elle fait suite à l’inscription du droit à l’alimentation dans la Constitution genevoise, votée en juin 2023, indique Sabine Bally, membre de la coordination: «On voit que la nourriture est un problème de santé publique, explique-t-elle. Le Covid a aussi mis en lumière la problématique de la précarité alimentaire», en référence aux longues files devant les Vernets, en pleine pandémie.
La Calim fonctionne avec un système de cotisations solidaires, les uns couvrant en partie les besoins des autres (voir encadré plus bas). Ainsi, selon sa situation personnelle, le montant est de 20 francs au minimum jusqu’à 200 francs par mois, ou plus. En contrepartie, chaque membre reçoit une somme fixe de 150 francs en Radis.
«Comprendre le système alimentaire»
Pour autant, le principe de la Calim n’est pas seulement d’offrir une aide alimentaire, mais aussi de «se réapproprier l’alimentation», poursuit la responsable. «Les mangeurs choisissent par exemple les lieux partenaires. Au-delà de l’acte d’achat, c’est comprendre le système alimentaire: qualité, provenance, mode de production, goût, dimension nutritionnelle. Nous organisons des réunions avec nos membres: visite de ferme, tables rondes d’information, projections de film. Ce qui est important est que tout le monde soit acteur du système et puisse prendre des décisions en toute connaissance de cause.» Quant aux produits proposés, «il y a de tout», assure Sabine Bally: viande, poisson, céréales, légumes, produits secs. Tous «ne sont pas forcément produits à Genève, mais il y a une traçabilité et une information pour savoir d’où ils viennent et comment ils ont été produits et acheminés.»
Jusqu’à 400 membres
Comptant aujourd’hui 207 membres, la Calim pourra accueillir quelque 400 personnes lors de sa phase pilote jusqu’en décembre 2026. Un bilan sera alors tiré «et nous adapterons notre modèle économique». Le but est de se doter «petit à petit» d’un comité d’habitants dans chaque commune du canton. «On aimerait monter en échelle. Il y a un énorme intérêt, les gens veulent en être, et pas seulement des personnes qui paient le minimum.»
Radis à moitié subventionnés
Avec leurs cotisations, les quelque 200 membres actuels de la Calim financent un peu plus que la moitié du coût total du dispositif, précise Sabine Bally. Parmi eux, 18% paient plus que ce qu’ils reçoivent, et 14% versent autant qu’ils reçoivent. Le «delta» choisi pour le système, à savoir la part non couverte par les cotisations, a été fixé à 50% pour la phase expérimentale, pris en charge par des subventions privées et publiques: «On est conscients qu’à terme, il faudra que cela soit différent. En France, il y a des projets similaires, à Montpellier notamment. Certains redistribuent ce qu’ils reçoivent uniquement, mais la somme reçue est donc variable.»
ou fournies via variables (ex. https://www.20min.ch/fr/story/geneve-des-genevois-feront-caisse-commune-pour-se-nourrir-103425088). Aucune autre URL.
– **Liste blanche stricte** (exemples) : AFP, Reuters, AP News, Le Monde, France 24, RFI, Courrier international, TV5Monde, Boursorama, Le Figaro, Libération, Le Parisien, Franceinfo, Ouest-France, Mediapart, Euronews, La Croix, Radio-Canada, CBC, Swissinfo, RTS, Africanews, Jeune Afrique, DW, The Guardian, BBC News, El País, Der Spiegel, Politico, L’Express, Challenges, Bloomberg, Financial Times, Al Jazeera, The New York Times, The Washington Post.
– S’il manque **au moins deux** liens fiables (liste blanche), afficher **immédiatement après le chapeau** :
Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.
– Dans ce cas, la section « Sources » peut rester vide ou ne contenir que `https://www.20min.ch/fr/story/geneve-des-genevois-feront-caisse-commune-pour-se-nourrir-103425088` s’il existe.
**Garde-fous**
– Déduis le **domaine principal** depuis
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Au bout du lac, des habitants lancent la Caisse genevoise pour l’alimentation. Plus qu’un dispositif d’aide, il s’agit d’offrir de la nourriture «saine et choisie».
Les membres de la Calim pourront dépenser leurs Radis sur des stands de marché, entre autres.
IMAGO/NurPhoto
Dès ce mercredi, ils se nourriront avec des radis. Ils, ce sont les membres de la Caisse genevoise de l’alimentation (Calim), et les Radis, la monnaie numérique qui leur permettra d’acheter de la nourriture dans treize lieux pour l’instant: fermes, épiceries solidaires, boulangerie ou stands sur des marchés. Destinée à tous les citoyens du canton, la Calim a été initiée en 2024 par deux comités d’habitants des Pâquis et de Meyrin. Elle fait suite à l’inscription du droit à l’alimentation dans la Constitution genevoise, votée en juin 2023, indique Sabine Bally, membre de la coordination: «On voit que la nourriture est un problème de santé publique, explique-t-elle. Le Covid a aussi mis en lumière la problématique de la précarité alimentaire», en référence aux longues files devant les Vernets, en pleine pandémie.
La Calim fonctionne avec un système de cotisations solidaires, les uns couvrant en partie les besoins des autres (voir encadré plus bas). Ainsi, selon sa situation personnelle, le montant est de 20 francs au minimum jusqu’à 200 francs par mois, ou plus. En contrepartie, chaque membre reçoit une somme fixe de 150 francs en Radis.
«Comprendre le système alimentaire»
Pour autant, le principe de la Calim n’est pas seulement d’offrir une aide alimentaire, mais aussi de «se réapproprier l’alimentation», poursuit la responsable. «Les mangeurs choisissent par exemple les lieux partenaires. Au-delà de l’acte d’achat, c’est comprendre le système alimentaire: qualité, provenance, mode de production, goût, dimension nutritionnelle. Nous organisons des réunions avec nos membres: visite de ferme, tables rondes d’information, projections de film. Ce qui est important est que tout le monde soit acteur du système et puisse prendre des décisions en toute connaissance de cause.» Quant aux produits proposés, «il y a de tout», assure Sabine Bally: viande, poisson, céréales, légumes, produits secs. Tous «ne sont pas forcément produits à Genève, mais il y a une traçabilité et une information pour savoir d’où ils viennent et comment ils ont été produits et acheminés.»
Jusqu’à 400 membres
Comptant aujourd’hui 207 membres, la Calim pourra accueillir quelque 400 personnes lors de sa phase pilote jusqu’en décembre 2026. Un bilan sera alors tiré «et nous adapterons notre modèle économique». Le but est de se doter «petit à petit» d’un comité d’habitants dans chaque commune du canton. «On aimerait monter en échelle. Il y a un énorme intérêt, les gens veulent en être, et pas seulement des personnes qui paient le minimum.»
Radis à moitié subventionnés
Avec leurs cotisations, les quelque 200 membres actuels de la Calim financent un peu plus que la moitié du coût total du dispositif, précise Sabine Bally. Parmi eux, 18% paient plus que ce qu’ils reçoivent, et 14% versent autant qu’ils reçoivent. Le «delta» choisi pour le système, à savoir la part non couverte par les cotisations, a été fixé à 50% pour la phase expérimentale, pris en charge par des subventions privées et publiques: «On est conscients qu’à terme, il faudra que cela soit différent. En France, il y a des projets similaires, à Montpellier notamment. Certains redistribuent ce qu’ils reçoivent uniquement, mais la somme reçue est donc variable.»
: {santé, sécurité, économie, tech/données, climat/météo, transports/voyage, éducation, justice/politique, entreprise/emploi, sport}.
– **N’utilise jamais** de lexique ni d’exemples d’un domaine qui n’est pas celui détecté (ex. vocabulaire sportif si le sujet ≠ sport).
– N’introduis aucune personne, entreprise, institution ou pays **absent** de
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Au bout du lac, des habitants lancent la Caisse genevoise pour l’alimentation. Plus qu’un dispositif d’aide, il s’agit d’offrir de la nourriture «saine et choisie».
Les membres de la Calim pourront dépenser leurs Radis sur des stands de marché, entre autres.
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Dès ce mercredi, ils se nourriront avec des radis. Ils, ce sont les membres de la Caisse genevoise de l’alimentation (Calim), et les Radis, la monnaie numérique qui leur permettra d’acheter de la nourriture dans treize lieux pour l’instant: fermes, épiceries solidaires, boulangerie ou stands sur des marchés. Destinée à tous les citoyens du canton, la Calim a été initiée en 2024 par deux comités d’habitants des Pâquis et de Meyrin. Elle fait suite à l’inscription du droit à l’alimentation dans la Constitution genevoise, votée en juin 2023, indique Sabine Bally, membre de la coordination: «On voit que la nourriture est un problème de santé publique, explique-t-elle. Le Covid a aussi mis en lumière la problématique de la précarité alimentaire», en référence aux longues files devant les Vernets, en pleine pandémie.
La Calim fonctionne avec un système de cotisations solidaires, les uns couvrant en partie les besoins des autres (voir encadré plus bas). Ainsi, selon sa situation personnelle, le montant est de 20 francs au minimum jusqu’à 200 francs par mois, ou plus. En contrepartie, chaque membre reçoit une somme fixe de 150 francs en Radis.
«Comprendre le système alimentaire»
Pour autant, le principe de la Calim n’est pas seulement d’offrir une aide alimentaire, mais aussi de «se réapproprier l’alimentation», poursuit la responsable. «Les mangeurs choisissent par exemple les lieux partenaires. Au-delà de l’acte d’achat, c’est comprendre le système alimentaire: qualité, provenance, mode de production, goût, dimension nutritionnelle. Nous organisons des réunions avec nos membres: visite de ferme, tables rondes d’information, projections de film. Ce qui est important est que tout le monde soit acteur du système et puisse prendre des décisions en toute connaissance de cause.» Quant aux produits proposés, «il y a de tout», assure Sabine Bally: viande, poisson, céréales, légumes, produits secs. Tous «ne sont pas forcément produits à Genève, mais il y a une traçabilité et une information pour savoir d’où ils viennent et comment ils ont été produits et acheminés.»
Jusqu’à 400 membres
Comptant aujourd’hui 207 membres, la Calim pourra accueillir quelque 400 personnes lors de sa phase pilote jusqu’en décembre 2026. Un bilan sera alors tiré «et nous adapterons notre modèle économique». Le but est de se doter «petit à petit» d’un comité d’habitants dans chaque commune du canton. «On aimerait monter en échelle. Il y a un énorme intérêt, les gens veulent en être, et pas seulement des personnes qui paient le minimum.»
Radis à moitié subventionnés
Avec leurs cotisations, les quelque 200 membres actuels de la Calim financent un peu plus que la moitié du coût total du dispositif, précise Sabine Bally. Parmi eux, 18% paient plus que ce qu’ils reçoivent, et 14% versent autant qu’ils reçoivent. Le «delta» choisi pour le système, à savoir la part non couverte par les cotisations, a été fixé à 50% pour la phase expérimentale, pris en charge par des subventions privées et publiques: «On est conscients qu’à terme, il faudra que cela soit différent. En France, il y a des projets similaires, à Montpellier notamment. Certains redistribuent ce qu’ils reçoivent uniquement, mais la somme reçue est donc variable.»
.
– Si des infos manquent, écrire « non précisé » **et supprimer** tout bloc qui n’aurait que des « non précisé ».
**Mode BREAKING (si pertinent)**
– Active BREAKING si :
1) `2025-09-30 20:40:00` = aujourd’hui (ou « < 24 h » mentionné dans
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Au bout du lac, des habitants lancent la Caisse genevoise pour l’alimentation. Plus qu’un dispositif d’aide, il s’agit d’offrir de la nourriture «saine et choisie».
Les membres de la Calim pourront dépenser leurs Radis sur des stands de marché, entre autres.
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Dès ce mercredi, ils se nourriront avec des radis. Ils, ce sont les membres de la Caisse genevoise de l’alimentation (Calim), et les Radis, la monnaie numérique qui leur permettra d’acheter de la nourriture dans treize lieux pour l’instant: fermes, épiceries solidaires, boulangerie ou stands sur des marchés. Destinée à tous les citoyens du canton, la Calim a été initiée en 2024 par deux comités d’habitants des Pâquis et de Meyrin. Elle fait suite à l’inscription du droit à l’alimentation dans la Constitution genevoise, votée en juin 2023, indique Sabine Bally, membre de la coordination: «On voit que la nourriture est un problème de santé publique, explique-t-elle. Le Covid a aussi mis en lumière la problématique de la précarité alimentaire», en référence aux longues files devant les Vernets, en pleine pandémie.
La Calim fonctionne avec un système de cotisations solidaires, les uns couvrant en partie les besoins des autres (voir encadré plus bas). Ainsi, selon sa situation personnelle, le montant est de 20 francs au minimum jusqu’à 200 francs par mois, ou plus. En contrepartie, chaque membre reçoit une somme fixe de 150 francs en Radis.
«Comprendre le système alimentaire»
Pour autant, le principe de la Calim n’est pas seulement d’offrir une aide alimentaire, mais aussi de «se réapproprier l’alimentation», poursuit la responsable. «Les mangeurs choisissent par exemple les lieux partenaires. Au-delà de l’acte d’achat, c’est comprendre le système alimentaire: qualité, provenance, mode de production, goût, dimension nutritionnelle. Nous organisons des réunions avec nos membres: visite de ferme, tables rondes d’information, projections de film. Ce qui est important est que tout le monde soit acteur du système et puisse prendre des décisions en toute connaissance de cause.» Quant aux produits proposés, «il y a de tout», assure Sabine Bally: viande, poisson, céréales, légumes, produits secs. Tous «ne sont pas forcément produits à Genève, mais il y a une traçabilité et une information pour savoir d’où ils viennent et comment ils ont été produits et acheminés.»
Jusqu’à 400 membres
Comptant aujourd’hui 207 membres, la Calim pourra accueillir quelque 400 personnes lors de sa phase pilote jusqu’en décembre 2026. Un bilan sera alors tiré «et nous adapterons notre modèle économique». Le but est de se doter «petit à petit» d’un comité d’habitants dans chaque commune du canton. «On aimerait monter en échelle. Il y a un énorme intérêt, les gens veulent en être, et pas seulement des personnes qui paient le minimum.»
Radis à moitié subventionnés
Avec leurs cotisations, les quelque 200 membres actuels de la Calim financent un peu plus que la moitié du coût total du dispositif, précise Sabine Bally. Parmi eux, 18% paient plus que ce qu’ils reçoivent, et 14% versent autant qu’ils reçoivent. Le «delta» choisi pour le système, à savoir la part non couverte par les cotisations, a été fixé à 50% pour la phase expérimentale, pris en charge par des subventions privées et publiques: «On est conscients qu’à terme, il faudra que cela soit différent. En France, il y a des projets similaires, à Montpellier notamment. Certains redistribuent ce qu’ils reçoivent uniquement, mais la somme reçue est donc variable.»
), ou
2) une **échéance officielle ≤ 72 h** après `2025-09-30 20:40:00`.
– En BREAKING : `
` **exclamatif** + **chapeau** commençant par une phrase temporelle très courte (« Mise à jour le 2025-09-30 20:40:00 : … »). Pas d’empilement d’étiquettes.
**Génération du TITRE (obligatoire)**
– Choisir la forme la plus forte disponible, dans cet ordre :
1) Exclamative si BREAKING (chiffre/échéance/autorité présents),
2) Interrogative,
3) Sobre-percutant (fallback).
– Interdits : superlatifs gratuits (« incroyable », « choc », « bouleversant »), insinuations, promesses vagues.
– Longueur cible : **70–110 caractères** ; pas d’URL ; noms propres uniquement si indispensables.
**Génération de l’INTRO (obligatoire, 2–4 phrases) — “choc → pont → suite”**
– Phrase 1 (**fait dur vérifié**) : chiffre **ou** échéance **ou** autorité, issus de
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Au bout du lac, des habitants lancent la Caisse genevoise pour l’alimentation. Plus qu’un dispositif d’aide, il s’agit d’offrir de la nourriture «saine et choisie».
Les membres de la Calim pourront dépenser leurs Radis sur des stands de marché, entre autres.
IMAGO/NurPhoto
Dès ce mercredi, ils se nourriront avec des radis. Ils, ce sont les membres de la Caisse genevoise de l’alimentation (Calim), et les Radis, la monnaie numérique qui leur permettra d’acheter de la nourriture dans treize lieux pour l’instant: fermes, épiceries solidaires, boulangerie ou stands sur des marchés. Destinée à tous les citoyens du canton, la Calim a été initiée en 2024 par deux comités d’habitants des Pâquis et de Meyrin. Elle fait suite à l’inscription du droit à l’alimentation dans la Constitution genevoise, votée en juin 2023, indique Sabine Bally, membre de la coordination: «On voit que la nourriture est un problème de santé publique, explique-t-elle. Le Covid a aussi mis en lumière la problématique de la précarité alimentaire», en référence aux longues files devant les Vernets, en pleine pandémie.
La Calim fonctionne avec un système de cotisations solidaires, les uns couvrant en partie les besoins des autres (voir encadré plus bas). Ainsi, selon sa situation personnelle, le montant est de 20 francs au minimum jusqu’à 200 francs par mois, ou plus. En contrepartie, chaque membre reçoit une somme fixe de 150 francs en Radis.
«Comprendre le système alimentaire»
Pour autant, le principe de la Calim n’est pas seulement d’offrir une aide alimentaire, mais aussi de «se réapproprier l’alimentation», poursuit la responsable. «Les mangeurs choisissent par exemple les lieux partenaires. Au-delà de l’acte d’achat, c’est comprendre le système alimentaire: qualité, provenance, mode de production, goût, dimension nutritionnelle. Nous organisons des réunions avec nos membres: visite de ferme, tables rondes d’information, projections de film. Ce qui est important est que tout le monde soit acteur du système et puisse prendre des décisions en toute connaissance de cause.» Quant aux produits proposés, «il y a de tout», assure Sabine Bally: viande, poisson, céréales, légumes, produits secs. Tous «ne sont pas forcément produits à Genève, mais il y a une traçabilité et une information pour savoir d’où ils viennent et comment ils ont été produits et acheminés.»
Jusqu’à 400 membres
Comptant aujourd’hui 207 membres, la Calim pourra accueillir quelque 400 personnes lors de sa phase pilote jusqu’en décembre 2026. Un bilan sera alors tiré «et nous adapterons notre modèle économique». Le but est de se doter «petit à petit» d’un comité d’habitants dans chaque commune du canton. «On aimerait monter en échelle. Il y a un énorme intérêt, les gens veulent en être, et pas seulement des personnes qui paient le minimum.»
Radis à moitié subventionnés
Avec leurs cotisations, les quelque 200 membres actuels de la Calim financent un peu plus que la moitié du coût total du dispositif, précise Sabine Bally. Parmi eux, 18% paient plus que ce qu’ils reçoivent, et 14% versent autant qu’ils reçoivent. Le «delta» choisi pour le système, à savoir la part non couverte par les cotisations, a été fixé à 50% pour la phase expérimentale, pris en charge par des subventions privées et publiques: «On est conscients qu’à terme, il faudra que cela soit différent. En France, il y a des projets similaires, à Montpellier notamment. Certains redistribuent ce qu’ils reçoivent uniquement, mais la somme reçue est donc variable.»
.
– Phrase 2 (**pourquoi vous**) : impact direct pour le lecteur (argent/santé/sécurité/données/voyage/emploi).
– Phrase 3 (**urgence/risque** ou **incertitude** si applicable).
– Phrase 4 (**prochaine étape**) : calendrier/procédure si disponible.
– Si aucun « fait dur » n’est disponible, basculer en sobre-percutant (ne pas forcer le “choc”).
Titre reformulé factuel et engageant
[1–2 phrases très courtes : fait principal + impact immédiat. Si BREAKING : « Mise à jour le 2025-09-30 20:40:00 : … »]
[2–4 phrases : fait vérifié ; pourquoi cela vous concerne ; urgence/risque ou incertitudes ; prochaines étapes si disponibles. Aucune URL ici.]
Ce qu’il faut savoir
Le fait : [résumé en une phrase].
Qui est concerné : [public/secteurs explicitement mentionnés].
Quand : [date d’effet/échéance] ; supprimer la ligne si non précisé.
Où : [pays/zone concernés si cités] ; supprimer la ligne si non précisé.
Chiffres clés
[indicateur #1 : valeur + unité + période]
[indicateur #2 : valeur + unité + période]
Concrètement, pour vous
Ce qui change : [obligation, droit, coût, restriction, avantage].
Démarches utiles : [action/justificatif] si présent ; sinon supprimer la ligne.
Risques si vous n’agissez pas : [sanction/perte/retard] si mentionné ; sinon supprimer.
Exceptions : [si présentes] ; sinon supprimer.
Contexte
[Repères utiles (cadre légal, historique, géopolitique) strictement issus de
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Au bout du lac, des habitants lancent la Caisse genevoise pour l’alimentation. Plus qu’un dispositif d’aide, il s’agit d’offrir de la nourriture «saine et choisie».
Les membres de la Calim pourront dépenser leurs Radis sur des stands de marché, entre autres.
IMAGO/NurPhoto
Dès ce mercredi, ils se nourriront avec des radis. Ils, ce sont les membres de la Caisse genevoise de l’alimentation (Calim), et les Radis, la monnaie numérique qui leur permettra d’acheter de la nourriture dans treize lieux pour l’instant: fermes, épiceries solidaires, boulangerie ou stands sur des marchés. Destinée à tous les citoyens du canton, la Calim a été initiée en 2024 par deux comités d’habitants des Pâquis et de Meyrin. Elle fait suite à l’inscription du droit à l’alimentation dans la Constitution genevoise, votée en juin 2023, indique Sabine Bally, membre de la coordination: «On voit que la nourriture est un problème de santé publique, explique-t-elle. Le Covid a aussi mis en lumière la problématique de la précarité alimentaire», en référence aux longues files devant les Vernets, en pleine pandémie.
La Calim fonctionne avec un système de cotisations solidaires, les uns couvrant en partie les besoins des autres (voir encadré plus bas). Ainsi, selon sa situation personnelle, le montant est de 20 francs au minimum jusqu’à 200 francs par mois, ou plus. En contrepartie, chaque membre reçoit une somme fixe de 150 francs en Radis.
«Comprendre le système alimentaire»
Pour autant, le principe de la Calim n’est pas seulement d’offrir une aide alimentaire, mais aussi de «se réapproprier l’alimentation», poursuit la responsable. «Les mangeurs choisissent par exemple les lieux partenaires. Au-delà de l’acte d’achat, c’est comprendre le système alimentaire: qualité, provenance, mode de production, goût, dimension nutritionnelle. Nous organisons des réunions avec nos membres: visite de ferme, tables rondes d’information, projections de film. Ce qui est important est que tout le monde soit acteur du système et puisse prendre des décisions en toute connaissance de cause.» Quant aux produits proposés, «il y a de tout», assure Sabine Bally: viande, poisson, céréales, légumes, produits secs. Tous «ne sont pas forcément produits à Genève, mais il y a une traçabilité et une information pour savoir d’où ils viennent et comment ils ont été produits et acheminés.»
Jusqu’à 400 membres
Comptant aujourd’hui 207 membres, la Calim pourra accueillir quelque 400 personnes lors de sa phase pilote jusqu’en décembre 2026. Un bilan sera alors tiré «et nous adapterons notre modèle économique». Le but est de se doter «petit à petit» d’un comité d’habitants dans chaque commune du canton. «On aimerait monter en échelle. Il y a un énorme intérêt, les gens veulent en être, et pas seulement des personnes qui paient le minimum.»
Radis à moitié subventionnés
Avec leurs cotisations, les quelque 200 membres actuels de la Calim financent un peu plus que la moitié du coût total du dispositif, précise Sabine Bally. Parmi eux, 18% paient plus que ce qu’ils reçoivent, et 14% versent autant qu’ils reçoivent. Le «delta» choisi pour le système, à savoir la part non couverte par les cotisations, a été fixé à 50% pour la phase expérimentale, pris en charge par des subventions privées et publiques: «On est conscients qu’à terme, il faudra que cela soit différent. En France, il y a des projets similaires, à Montpellier notamment. Certains redistribuent ce qu’ils reçoivent uniquement, mais la somme reçue est donc variable.»
; phrases brèves, sans jargon.]
Ce qui reste à préciser
[point flou #1]
[point flou #2]
Citation
« Citation exacte » — Nom/Titre, Date précise (uniquement si fournie dans
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Genève: Des Genevois feront caisse commune pour se nourrir
Au bout du lac, des habitants lancent la Caisse genevoise pour l’alimentation. Plus qu’un dispositif d’aide, il s’agit d’offrir de la nourriture «saine et choisie».
Les membres de la Calim pourront dépenser leurs Radis sur des stands de marché, entre autres.
IMAGO/NurPhoto
Dès ce mercredi, ils se nourriront avec des radis. Ils, ce sont les membres de la Caisse genevoise de l’alimentation (Calim), et les Radis, la monnaie numérique qui leur permettra d’acheter de la nourriture dans treize lieux pour l’instant: fermes, épiceries solidaires, boulangerie ou stands sur des marchés. Destinée à tous les citoyens du canton, la Calim a été initiée en 2024 par deux comités d’habitants des Pâquis et de Meyrin. Elle fait suite à l’inscription du droit à l’alimentation dans la Constitution genevoise, votée en juin 2023, indique Sabine Bally, membre de la coordination: «On voit que la nourriture est un problème de santé publique, explique-t-elle. Le Covid a aussi mis en lumière la problématique de la précarité alimentaire», en référence aux longues files devant les Vernets, en pleine pandémie.
La Calim fonctionne avec un système de cotisations solidaires, les uns couvrant en partie les besoins des autres (voir encadré plus bas). Ainsi, selon sa situation personnelle, le montant est de 20 francs au minimum jusqu’à 200 francs par mois, ou plus. En contrepartie, chaque membre reçoit une somme fixe de 150 francs en Radis.
«Comprendre le système alimentaire»
Pour autant, le principe de la Calim n’est pas seulement d’offrir une aide alimentaire, mais aussi de «se réapproprier l’alimentation», poursuit la responsable. «Les mangeurs choisissent par exemple les lieux partenaires. Au-delà de l’acte d’achat, c’est comprendre le système alimentaire: qualité, provenance, mode de production, goût, dimension nutritionnelle. Nous organisons des réunions avec nos membres: visite de ferme, tables rondes d’information, projections de film. Ce qui est important est que tout le monde soit acteur du système et puisse prendre des décisions en toute connaissance de cause.» Quant aux produits proposés, «il y a de tout», assure Sabine Bally: viande, poisson, céréales, légumes, produits secs. Tous «ne sont pas forcément produits à Genève, mais il y a une traçabilité et une information pour savoir d’où ils viennent et comment ils ont été produits et acheminés.»
Jusqu’à 400 membres
Comptant aujourd’hui 207 membres, la Calim pourra accueillir quelque 400 personnes lors de sa phase pilote jusqu’en décembre 2026. Un bilan sera alors tiré «et nous adapterons notre modèle économique». Le but est de se doter «petit à petit» d’un comité d’habitants dans chaque commune du canton. «On aimerait monter en échelle. Il y a un énorme intérêt, les gens veulent en être, et pas seulement des personnes qui paient le minimum.»
Radis à moitié subventionnés
Avec leurs cotisations, les quelque 200 membres actuels de la Calim financent un peu plus que la moitié du coût total du dispositif, précise Sabine Bally. Parmi eux, 18% paient plus que ce qu’ils reçoivent, et 14% versent autant qu’ils reçoivent. Le «delta» choisi pour le système, à savoir la part non couverte par les cotisations, a été fixé à 50% pour la phase expérimentale, pris en charge par des subventions privées et publiques: «On est conscients qu’à terme, il faudra que cela soit différent. En France, il y a des projets similaires, à Montpellier notamment. Certains redistribuent ce qu’ils reçoivent uniquement, mais la somme reçue est donc variable.»
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Sources
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