28.10.2025 Cédric Balcon-Hermand 2 Vues 0 commentaires

Des graisses transformées pourraient ne pas nuire à la santé cardiaque

Mise à jour le 2025-10-28 17:57:00 : Une étude récente révèle que certaines graisses transformées n’ont que peu d’impact sur la santé cardiaque.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Une étude menée par des chercheurs de King’s College London et de l’Université de Maastricht a montré que deux types de graisses transformées, souvent présentes dans les aliments, n’affectent pas significativement la santé cardiaque lorsqu’elles sont consommées en quantités réalistes.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Les graisses interestérifiées riches en acides palmitique et stéarique n’augmentent pas les risques cardiaques à court terme.
Qui est concerné : Les consommateurs de produits alimentaires contenant ces graisses.
Quand : Étude publiée récemment dans l’American Journal of Clinical Nutrition.
Où : Royaume-Uni et Pays-Bas.

Chiffres clés

47 participants dans l’étude.
Durée de l’étude : 6 semaines.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Moins de préoccupations concernant la consommation de graisses transformées.
Démarches utiles : Aucune procédure spécifique à suivre.
Risques si vous n’agissez pas : Pas de sanctions mentionnées.

Contexte

Cette recherche a été réalisée pour évaluer les effets des graisses interestérifiées, qui remplacent souvent les graisses trans et animales, connues pour augmenter le risque de maladies cardiaques. Les résultats montrent que ces graisses, lorsqu’elles sont consommées en quantités normales, ne semblent pas nuire à la santé cardiovasculaire.

Ce qui reste à préciser

Les effets à long terme de ces graisses restent à étudier.
Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour confirmer ces résultats.

Citation

« Nos résultats fournissent des preuves rassurantes que les graisses transformées utilisées dans les aliments quotidiens ne nuisent pas à la santé cardiaque. » — Professor Wendy Hall, King’s College London.