Réseaux sociaux : une hyper-conscience de soi qui amplifie le mal-être des jeunes
Mise à jour le 2025-10-24 : Les jeunes souffrent de troubles mentaux croissants, exacerbés par l’usage intensif des réseaux sociaux.
[Introduction 2–4 phrases : fait vérifié ; pourquoi cela vous concerne (argent/santé/sécurité/données/voyage/emploi) ; risque/urgence/incertitude ; prochaine étape si disponible. Aucune URL ici.]
Ce qu’il faut savoir
- Le fait : Près d’un jeune sur cinq souffre d’un trouble mental.
- Qui est concerné : Les jeunes âgés de 15 à 24 ans.
- Quand : En 2024, selon l’OMS.
- Où : À l’échelle mondiale.
Chiffres clés
- 20 % des jeunes souffrent de troubles mentaux.
- Plus de trois heures et demie passées sur les réseaux sociaux par jour.
Concrètement, pour vous
- Ce qui change : Augmentation des troubles mentaux chez les jeunes.
- Démarches utiles : Rechercher des ressources de santé mentale.
- Risques si vous n’agissez pas : Détérioration de la santé mentale.
Contexte
Les indicateurs de santé mentale des jeunes se dégradent de manière continue. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), près d’un jeune sur cinq souffre aujourd’hui d’un trouble mental : anxiété, troubles alimentaires, sentiment d’isolement, épuisement émotionnel. Les demandes d’aide explosent. En parallèle, le temps passé sur les réseaux sociaux ne cesse de croître : les 15–24 ans y consacrent plus de trois heures et demie par jour en moyenne (Arcom, 2024).
Des réseaux qui apprennent à se scruter et se comparer
Sur les réseaux sociaux, chaque sujet intime devient un thème de débat public : identité sexuelle, genre, TDAH, haut potentiel, troubles alimentaires, dyslexie, stress, normes physiques… Ces conversations, parfois lancées dans une intention bienveillante de sensibilisation, finissent parfois par nourrir une hyper-conscience de soi.
Une internalisation des normes
Selon la théorie de l’apprentissage social, les individus apprennent à se comporter et à se percevoir en observant les autres. Les réseaux sociaux fonctionnent précisément sur ce principe : chaque image, chaque témoignage agit comme un micro-modèle de comportement, de posture ou d’émotion.
Retrouver le sens de la nuance
Les réseaux sociaux se transforment en outil d’auto-surveillance : les jeunes y apprennent à reconnaître des symptômes, mais aussi à s’y identifier. L’expression du malaise devient un marqueur de légitimité sociale où la souffrance se mesure, se compare et se valorise.
Citation
« La santé mentale ne consiste pas à supprimer ces états, mais à apprendre à vivre avec eux. » — Caroline Rouen-Mallet, 2025
Sources

Source d’origine : Voir la publication initiale
Date : 2025-10-24 09:18:00 — Site : www.iae-france.fr
Auteur : Cédric Balcon-Hermand — Biographie & projets
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Publié le : 2025-10-24 09:18:00 — Slug : reseaux-sociaux-une-hyper-conscience-de-soi-qui-amplifie-le-mal-etre-des-jeunes-the-conversation-iae-france-les-ecoles-universitaires-de-management
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