27.10.2025 Cédric Balcon-Hermand 1 Vues 0 commentaires

Grève des employés de la STM : impact sur les élections municipales de novembre

Mise à jour le 2025-10-27 22:12:00 : Le syndicat représentant les employés d’entretien de la STM prévoit une grève quotidienne en novembre, affectant les services le jour des élections.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Le syndicat qui représente les employés d’entretien de la Société de transport de Montréal (STM) veut débrayer tous les jours de la semaine, en novembre, y compris la journée des élections municipales, le 2 novembre, et n’offrir que des services essentiels aux heures de pointe.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : La STM prévoit une grève qui impactera les services de transport.
Qui est concerné : Les 2400 employés d’entretien de la STM et les usagers du transport public.
Quand : Du 31 octobre au 28 novembre 2025.
Où : Montréal, Canada.

Chiffres clés

2400 employés concernés par la grève.
Durée de la grève : 28 jours.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Réduction des services de transport public durant la grève.
Démarches utiles : Vérifiez les horaires de services essentiels.
Risques si vous n’agissez pas : Difficultés d’accès aux bureaux de vote.
Exceptions : Services essentiels maintenus durant les heures de pointe.

Contexte

Le syndicat, rattaché à la Confédération des syndicats nationaux (CSN), a annoncé une troisième grève, qui doit débuter le 31 octobre à 22 h pour se terminer le 28 novembre à 22 h. Les parties s’entendaient globalement sur l’offre de services essentiels durant les jours de grève, sauf en ce qui a trait à la journée des élections municipales, le 2 novembre.

Ce qui reste à préciser

Impact sur la participation électorale.
Réactions des usagers et des autorités locales.

Citation

« Une période de maintien des services essentiels de trois heures en après-midi, c’est insuffisant et ça constitue une entrave substantielle aux valeurs démocratiques protégées par la Charte. » — Me Jean-René Lafrance, avocat de la STM.