Gouvernement Lecornu : le Maralpin Philippe Tabarot reconduit aux Transports, après s’être s’affirmé avec sa rigueur budgétaire et face aux syndicats
Philippe Tabarot reconduit aux Transports dans le gouvernement Lecornu Mise à jour le 2025-10-05 21:19:00 : Philippe Tabarot a été confirmé à la tête du ministère des Transports. Son approche rigoureuse face aux syndicats et aux enjeux budgétaires est au cœur de son mandat. Confirmé dimanche à la tête du ministère des Transports, qu’il occupe depuis la fin de 2024, Philippe Tabarot poursuit la même orientation qu’à l’époque où il siégeait au Sénat sous les couleurs des Républicains. Spécialiste reconnu du secteur, il reste fidèle à sa ligne de fermeté face aux mouvements sociaux et défend avec constance les enjeux de sûreté et d’ouverture à la concurrence. Ce qu’il faut savoir Le fait : Philippe Tabarot a été reconduit au ministère des Transports. Qui est concerné : Les usagers des transports, les syndicats et les acteurs du secteur. Quand : Confirmation le 2025-10-05. Chiffres clés 54 ans : âge de Philippe Tabarot. Concrètement, pour vous Ce qui change : Maintien d’une politique stricte sur les grèves et les budgets dans le secteur des transports. Contexte Autoroute A69, grèves dans le ferroviaire ou chez les contrôleurs aériens… En neuf mois, ce Cannois de 54 ans s’est illustré par des prises de position fermes sur les sujets sensibles de son portefeuille, même s’il n’a pas toujours remporté les arbitrages en période de restrictions budgétaires. Interrogé sur les revendications des contrôleurs de trains avant une grève annoncée en mai, il avait jugé ces demandes «pas légitimes» et estimé que ces salariés «ne sont pas les plus mal traités au sein de la SNCF». Sur un autre front délicat, Philippe Tabarot avait qualifié d’«ubuesque» la décision de la justice administrative annulant, en février, l’autorisation du chantier de l’A69. Il s’était ensuite rendu sur place pour accompagner la reprise des travaux, validée en mai. Lors de la grève des contrôleurs aériens début juillet, le ministre avait fustigé des «syndicats minoritaires» aux demandes jugées «inacceptables». Et face à un nouveau préavis annoncé pour septembre – finalement repoussé –, il avait prévenu : «je ne céderai pas». Sources Source : Nice Presse « L’article est apparu en Lire plus
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