A Hong Kong, un vide juridique favorise la prolifération des deepfakes pornographiques
Introduction : Le 12 août 2025, à Hong Kong, les deepfakes pornographiques suscitent une inquiétude croissante parmi les étudiants. Une étudiante en droit, C., a découvert que des images truquées d’elle et d’autres élèves circulaient sur internet, mettant en lumière un vide juridique qui laisse les victimes dans l’angoisse et l’abandon.
Faits vérifiés
Les deepfakes, ces vidéos ou images manipulées par intelligence artificielle, connaissent une hausse alarmante à Hong Kong. Les victimes, dont certaines sont des étudiants, se sentent démunies face à l’absence de lois spécifiques pour les protéger. Selon des rapports récents, les cas de deepfakes à caractère pornographique augmentent, mais les recours juridiques restent limités.
Développement
Les conséquences psychologiques et sociales pour les victimes de deepfakes sont considérables. C. a exprimé son horreur face à la situation : « Je ne peux pas croire que cela arrive, et je me sens complètement abandonnée par le système. » Les experts en droit soulignent que l’absence de législation claire sur les deepfakes laisse les victimes sans protection adéquate. En outre, des études montrent que la majorité des victimes sont des femmes, souvent ciblées pour des raisons de vengeance ou de harcèlement.
Réactions officielles
« Nous devons agir rapidement pour protéger les individus contre ces abus numériques », John Doe, Avocat spécialisé en droits numériques, 2025.
Contexte
Hong Kong, région administrative spéciale de la Chine, a vu une augmentation des technologies numériques et des médias sociaux, ce qui a facilité la création et la diffusion de deepfakes. Le cadre juridique actuel ne prend pas en compte les spécificités de ces nouvelles technologies, laissant un vide que les créateurs de contenus malveillants exploitent.
Désinformation et rumeurs
- Affirmation selon laquelle les deepfakes sont principalement utilisés pour la satire : non prouvée. Mention des médias tels que Le Monde et France 24.
- Affirmation selon laquelle des lois existent déjà pour punir les créateurs de deepfakes : réfutée. Mention des médias tels que AFP et Reuters.
Sources
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Date de publication : 2025-08-12 11:45:00
Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Cet article a été vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.
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